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L’histoire du Stade Rennais
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La victoire en Coupe de France en 1965
La victoire en Coupe de France en 1971
Le match contre la Juventus Turin en 1999
La victoire en Coupe Gambardella en 2003
La victoire en Coupe Gambardella en 2008

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1er janvier 2005
Tony Vairelles

Attaquant au profil atypique, Tony Vairelles est formé à Nancy, mais se fait véritablement connaître à Lens où il est sacré champion de France en 1998. Devenu international, il est recruté par l'ambitieux Olympique lyonnais à l'été 1999, mais y connaît un échec cuisant. Il enchaîne alors les prêts, jusqu'à signer en août 2003 un contrat d'une année avec le Stade rennais. Mauvaise pioche, Vairelles ne s'imposant jamais alors qu'Alexander Frei est lui en pleine ascension. Écarté périodiquement du groupe pro, il ne marque qu'un but en une vingtaine de matchs, mais pour sept titularisations seulement. Non retenu, il quitte la Bretagne en 2004, et multiplie depuis les expériences mitigées dans des clubs de niveaux inférieurs. En 2009, il devient propriétaire du FC Gueugnon. Un peu moins de deux ans plus tard, le club bourguignon est mis en liquidation judiciaire. Revenu par la suite dans la région nancéienne, il est impliqué dans une affaire de fusillade qui entraîne son placement en détention provisoire durant quelques semaines. Sorti de prison, il prend une licence avec un petit club lorrain, Saint-Max-Essey, au niveau régional, durant une saison.

1er janvier 2005
Mickaël Bailly

Formé au Stade rennais, Mickaël Bailly n'a pas eu l'opportunité de se distinguer au sein de son club formateur sur du long terme. À son actif, un match en Division 1 sous les ordres de Paul Le Guen lors de la saison 1999-2000 au cours de la réception de Sedan (5-0). Attaquant de profondeur, pouvant également évoluer sur les côtés, il ne trouvera pas de nouveau challenge en professionnel. Il évolue alors en CFA avec le Paris FC, puis notamment à l'US Avranches et à l'OC Cesson-Sévigné.

1er janvier 2005
Jean Pignault

Ancien joueur du FC Rouen, Jean Pignault évolue durant une saison avec le Stade rennais, en 1945-1946. Il joue dix matchs de première division sous le maillot rouge et noir, le plus souvent en défense avec Henri Guérin, Ahmed Firoud, ou encore André Bordier, mais également à deux reprises en attaque. Par la suite, il continue sa carrière en allant jouer à Vernon, dans l'Eure.

1er janvier 2005
Edin Sprečo

Edin Sprečo débute sa carrière de footballeur au FK Željeznicar, l'un des clubs de sa ville natale de Sarajevo. Âgé seulement de 17 ans, il est l'auteur d'un doublé lors de son premier match professionnel, et se révèle de suite comme l'un des meilleurs espoirs de son pays. Alors sous les feux des projecteurs, Sprečo est sélectionné à trois reprises avec l'équipe de Yougoslavie, et marque même deux fois. Au niveau national, Edin Sprečo remporte le titre suprême en 1972 avec son club formateur, aux côtés de Josip Katalinski et Ivan Osim notamment. Après dix années de bons et loyaux services avec le FK Željeznicar, l'attaquant yougoslave décide de tenter une aventure à l'étranger et signe dans l'équipe du NAC Breda aux Pays-Bas. Buteur à sept reprises avec la formation néerlandaise, Edin Sprečo retourne pourtant en Yougoslavie une année plus tard, dans le club de ses débuts. C'est alors que les dirigeants du Stade rennais décident de se renforcer en attaque à l'aube de la saison 1977-1978, et engagent Sprečo qui a laissé une bonne impression lors de ses trois jours d'essai effectués à Rennes. Malheureusement, son arrivée est retardée par un contrat à temps le liant à son club jusqu'au 6 décembre 1977, et par l'absence de sa lettre de sortie officielle. Grâce à son jeu de tête redoutable, Sprečo alors âgé de 30 ans, inscrit cinq buts lors de sa première demie-saison avec le Stade rennais. Devenu titulaire lors de l'exercice 1978-1979, Edin Sprečo forme avec Laurent Pokou un duo offensif de choc, mais l'Ivoirien est rapidement suspendu puis quitte le club, et le Yougolave termine meilleur buteur du club avec un total de quinze réalisations. Pourtant, Edin Sprečo est devenu persona non grata au Stade rennais, après avoir passé des vacances prolongées en Yougoslavie au cours de l'hiver 1978, sans l'accord du club. Parti un temps, il revient à la demande de ses coéquipiers et réalise une bonne fin de saison. Après un an et demi en Bretagne, l'attaquant yougoslave termine sa carrière au NK Iskra. Il devient par la suite recruteur pour le FK Željeznicar.

1er janvier 2005
André Ascencio

À l'origine, André Ascencio est attaquant lorsqu'il évolue à Oran, dans un club de sa ville natale. C'est à ce poste qu'il est recruté par le Stade rennais, et fait le voyage vers l'hexagone en 1957. Très jeune, il se fait déjà une place dans l'équipe première, mais est déjà régulièrement replacé au milieu de terrain, poste qu'il va rapidement adopter. Travailleur de l'ombre, il n'est pas le plus connu ni le plus reconnu des vainqueurs de la Coupe de France 1965, mais André Ascencio joue pourtant un rôle essentiel dans le collectif rennais. Jean Prouff le reconnaît lui même : pas de grand match sans un grand Ascencio ! Associé à Marcel Loncle, il fait un malheur. Au total, André Ascencio reste dix ans au Stade rennais, avant d'être victime d'un large remaniement de l'effectif en 1967. Il rejoint alors le FC Lorient, qui vient de créer une section professionnelle et d'accéder du même coup à la deuxième division. En compagnie de nombreux autres anciens rennais, il reste deux saisons chez les Merlus avant de prendre sa retraite sportive, à 31 ans. Il s'installe ensuite à Rennes, où il devient assureur. Il décède le 24 septembre 2017.

1er janvier 2005
Rémy Lebret

Originaire de la région de Combourg, Rémy Lebret évolue à la JA Saint-Servan avant d'entrer au Stade rennais à la fin des années 1950. Cet attaquant évolue principalement avec les amateurs, mais fait également quelques apparitions en Division 1, où il est lancé par Henri Guérin. En l'espace de quatre saisons, Lebret totalise neuf titularisations dans l'élite, et marque même un but contre le RC Paris en janvier 1961. Après avoir quitté le club, il joue pendant plusieurs saison au niveau amateur avec le Stade lavallois, puis devient entraîneur-joueur de la JA Melesse.

1er janvier 2005
Frédéric Nikitis

De nationalité grecque, né à Istanbul (alors encore nommée Constantinople) en République de Turquie, Frédéric Nikitis fait pourtant sa carrière de footballeur en France. Après avoir joué au Vésinet dans les Yvelines, il fait ses débuts professionnels au Racing Club de Paris avec lequel il évolue en D1. Au passage, sous les mythiques couleurs du club parisien, Nikitis dispute une finale de Coupe de France, perdue en 1950 contre le Stade de Reims. Suite à cet épisode malheureux, le milieu de terrain signe au Stade rennais. Titulaire en début de saison, il perd sa place après une dizaine de matchs, puis est prêté l'année d'après à Rouen, en D2, puis revient en Bretagne. Sa deuxième saison est relativement similaire à la première, et finit par se clore sur une descente en deuxième division. Nikitis met alors fin à sa carrière de joueur professionnel et rejoint Évreux, dont il devient plus tard également l'entraîneur.

1er janvier 2005
Arnold Oosterveer

Formé à Alkmaar, Arnold Oosterveer débute sa carrière pro au Telstar Velsen, en deuxième division néerlandaise. Après deux années comme titulaire, il est recruté par l'AZ Alkmaar, qui le fait jouer deux saisons en Eredivisie. En 1988, il change de décor, et atterrit à Niort, tout juste relégué de D1 en D2. Titulaire en défense centrale, il ne parvient pas à obtenir de remontée avec le club des Deux-Sèvres. En octobre 1990, le Stade rennais cherche à obtenir le renfort d'un joker pour pallier à une grosse blessure de François Denis. Oosterveer débarque alors en Bretagne, et deviendra rapidement le capitaine de l'équipe. Défenseur à l'ancienne, dur sur l'homme, il reste deux saisons à Rennes, jusqu'à la relégation du club en D2, en 1992. Transféré à Valenciennes, il subit une nouvelle relégation, et quitte la France en 1993. Il termine sa carrière à Heerenveen aux Pays-Bas, puis devient agent de joueurs.

1er janvier 2005
René Cédolin

Né en région parisienne, René Cédolin grandit dans le Calvados. Alors qu'il joue à Douvres-la-Délivrande, près de Caen, il signe un accord de non-sollicitation en faveur du Stade rennais en 1957, qu'il rejoindra deux ans plus tard. En attendant, il rejoint le Stade Malherbe de Caen, qui évolue sous statut amateur. Rapidement, Cédolin fait ses débuts en D1 avec le Stade rennais, d'abord comme latéral gauche. Il mettra cependant plusieurs années avant de réaliser une saison complète à ce niveau en 1963-1964. L'année suivante, Jean Prouff le replace dans l'axe, où il est associé à Yves Boutet, et parfois même au milieu. Il devient l'un des hommes de base du collectif rennais, associé successivement à Michel Beaulieu, Georges Jazdzyk puis Zygmunt Chlosta. Au fil des ans, Cédolin devient le joueur ayant disputé le plus de matchs de D1 avec le maillot rennais sur le dos (322 rencontres), et remporte deux fois la Coupe de France. En 1965, blessé, il doit cependant déclarer forfait pour la deuxième finale, Jean-Pierre Brucato le remplaçant en défense centrale. En 1971-1972, tout en restant dans l'effectif, il fait un premier pas vers le métier d'entraîneur en secondant Jean Prouff, puis en prenant sa suite la saison suivante. Cédolin perpétue l'héritage du technicien morbihannais, et conduit l'effectif durant deux ans et demi. En février 1975, malgré des résultats corrects, il est évincé au profit d'Antoine Cuissard, décision qui provoque l'indignation du syndicat des entraîneurs. Quittant la Bretagne, il devient l'entraîneur de Troyes, de Guingamp puis d'Angers, avant de se concentrer sur la formation des jeunes, notamment à Sochaux dont il conduit les juniors à une victoire en Coupe Gambardella en 1983. Après diverses expériences à Niort, Alès ou Le Havre, il prend sa retraite et vit désormais dans l'Hérault.

1er janvier 2005
Claude Dubaële

Claude Dubaële débute sa carrière en intégrant à doses homéopathiques la grande équipe du Stade de Reims, à la fin des années 1950. Difficile pour le jeune artésien de se faire une place parmi les Just Fontaine, Jean Vincent, Raymond Kopa, Hassan Akesbi ou Roger Piantoni, qui brillent sur le front de l'attaque rémoise. Dubaële doit ainsi attendre 1962-1963 pour obtenir un temps de jeu plus substantiel, mais il part au mois de septembre de l'année suivante pour la Bretagne. Rejoignant le Stade rennais, Dubaële s'y fait un nom. Ses débuts sont on ne peut plus meilleurs : dès la deuxième minute de sa première rencontre avec les « Rouge et Noir », il ouvre son compteur but. Parfois utilisé comme milieu de terrain par Antoine Cuissard, il marque tout de même onze buts pour sa première saison. Un total qui va en augmentant l'année suivante sous les ordres de Jean Prouff. Associé en attaque à Daniel Rodighiero, Dubaële fait des ravages, et contribue grandement au succès en Coupe de France, en marquant quatre buts dont un en demi-finale. Moins décisif en 1965-1966, il quitte Rennes à l'issue de sa troisième saison en Bretagne. Dubaële rebondit à Angers, dont il devient l'une des armes offensives principales quatre saisons durant, puis à Lille qu'il aide à remonter dans l'élite. Il termine sa carrière au Mans, puis s'oriente vers le métier d'entraîneur. Après avoir fait ses armes avec un petit club de Dordogne, il revient au Stade rennais où il prend en main des équipes de jeunes. Après avoir refusé l'équipe première en février 1975, il succède finalement à Antoine Cuissard à l'été 1976. Pour sa première saison comme entraîneur en D1, il n'évite pas une descente, puis doit subir un licenciement pour raisons économiques en janvier 1978. Par la suite, l'ancien attaquant n'entraînera plus au haut-niveau, devant se contenter notamment d'un Red Star alors en Division d'honneur.