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La victoire en Coupe Gambardella en 2003
La victoire en Coupe Gambardella en 2008

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1er janvier 2005
Michel Sorin

Natif de Mayenne, Michel Sorin débute sa carrière de joueur professionnel à Laval, en 1980. Six ans plus tard, il quitte son département natal, transféré au Brest Armorique. Dans le Finistère durant trois ans, ce solide défenseur évolue au côté de Paul Le Guen, puis rejoint le Stade rennais en 1989, un club avec lequel il débute une longue histoire. Michel Sorin joue ainsi durant sept ans à Rennes, cumulant près de 200 matchs en D1 et D2, et connaissant deux accessions dans l'élite et une relégation à l'étage inférieur. Mettant fin à sa carrière en 1995, il devient rapidement entraîneur, et dirige d'abord l'équipe réserve des Rouge et noir. Pendant une parenthèse de cinq ans, il découvre ensuite le football entreprise en entraînant les Municipaux de Rennes, puis prend en main l'US Changé et l'US Saint-Malo. En 2002, suite au remplacement de Philippe Bergeroo par Vahid Halilhodžić, Michel Sorin fait finalement son retour au Stade rennais, en qualité d'adjoint. Un poste qu'il conserve ensuite sous la direction de Laszlo Bölöni puis de Pierre Dréossi, dirigeant les entraînements, en compagnie notamment de Philippe Redon. Lorsque, fin 2007, Pierre Dréossi abandonne la fonction d'entraîneur à Guy Lacombe, Michel Sorin est brièvement nommé recruteur, puis quitte le club quelques semaines plus tard. Il débute alors une nouvelle carrière d'entraîneur en Afrique, à la tête d'un club puis de la sélection du Bénin. Courant 2011, il rentre finalement en France, et devient l'entraîneur de l'AS Vitré, qu'il fait monter de CFA2 en CFA.

1er janvier 2005
Éric Guérit

Ancien professionnel passé notamment par les Girondins de Bordeaux, Éric Guérit s'est longtemps destiné à la fonction d'entraîneur. Une fonction occupée une première fois lors de 7 matches alors qu'il était encore joueur de l'effectif bordelais. Coéquipier de Pierre Dréossi alors que les deux hommes évoluaient à Cannes, Guérit est appelé en janvier 2007 par le manager du Stade rennais, et occupe durant sept ans un poste de recruteur au sein du staff breton. Durant son parcours rennais, il dirige à quelques reprises l'équipe réserve, assurant l'intérim durant un long arrêt maladie de Laurent Huard. En décembre 2014 finalement, quelques mois après le licenciement de Dréossi, Éric Guérit quitte à son tour le Stade rennais. En mai 2016, il retourne aux Girondins de Bordeaux, toujours en qualité de recruteur.

1er janvier 2005
Maxime Brillault

Formé au Stade rennais, Maxime Brillault le quitte en 2002, alors qu'il est âgé de 19 ans. Ce défenseur central trouve ensuite un point de chute à Niort, puis à Orléans en CFA. En 2006, il passe professionnel en signant à Libourne Saint-Seurin et fait ses débuts en Ligue 2. Il joue alors trois saisons consécutives à ce niveau, avec Libourne puis à Amiens. Après un exil d'un an et demi en Belgique, il signe en janvier 2011 à Vannes, et fait donc son retour en Bretagne. Un come-back d'un an seulement, puisqu'il est laissé libre puis retourne à Orléans en novembre 2012. Avec le club du Loiret, Maxime Brillault connaît la joie d'une montée en Ligue 2 en 2014. Transféré la saison suivante à Brest, il ne s'y impose pas, puis retourne en National en 2016, en signant à Boulogne-sur-Mer.

1er janvier 2005
Udo Horsmann

Originaire du Nord-Ouest de l'Allemagne, Udo Horsmann fait ses débuts professionnels avec le grand Bayern Munich. Coéquipier en défense de Franz Beckenbauer, il joue pendant huit saisons en Bavière, se taillant un beau palmarès. Champion d'Allemagne à deux reprises, il remporte surtout le titre de champion d'Europe en 1976, face à l'AS Saint-Étienne, puis la Coupe intercontinentale. Pour autant, Horsmann reste relativement discret dans l'effectif du Bayern, n'étant par exemple jamais sélectionné en équipe d'Allemagne. En 1983, il quitte finalement la Bundesliga pour rejoindre la France et le Stade rennais, tout juste remonté en Division 1. Titulaire toute la saison, le plus souvent en défense centrale avec Dominique Marais, il ne brille pourtant que modérément. La descente immédiate du club en D2 précipite finalement son départ de Bretagne. Horsmann retourne alors en Allemagne, et joue encore deux saisons au haut-niveau, d'abord avec Nuremberg puis avec Munich 1860. Après sa carrière, il devient architecte d'intérieur et designer.

1er janvier 2005
Jacques Niclause

La présence de Jacques Niclause dans les annales du Stade rennais tient presque du hasard. À la toute fin de la saison 1959-1960, l'équipe première expérimente une pénurie de gardiens : le titulaire habituel, Jacques Rouillé, est blessé, tandis que son remplaçant Bernard Josse doit jouer un match capital avec l'équipe amateur. Dans l'urgence, le club engage Jacques Niclause, ancien du Racing Club de Paris, alors présent sur Rennes et libre de tout contrat. Il joue ainsi deux rencontres, à Valenciennes puis face au Stade français, pour deux défaites (0-3 puis 2-3). Il retourne par la suite au Racing, puis joue à Meaux quelques années plus tard.

1er janvier 2005
Felix Katongo

Recrue surprise du mercato d'hiver 2008, le Zambien Felix Katongo s'annonce alors comme l'une des curiosités de l'effectif de Guy Lacombe. Suivi « depuis longtemps » (selon l'intéressé) par Pierre Dréossi, ce milieu de terrain de poche, « capable de jouer dans l'axe ou sur les côtés », tente alors de se faire un nom en Europe, après avoir écumé les championnats zambiens, sudafricains et angolais. Las, le joueur n'évolue qu'une seule fois avec les pros, lors d'un match de Coupe de la Ligue, devant se contenter principalement de matches de CFA. En manque de temps de jeu, un prêt catastrophique à Châteauroux (L2) met fin à son aventure française. Katongo retourne alors en Afrique du Sud, et évolue même sous les ordres de Hristo Stoïchkov. Il découvre ensuite la Libye, mais a la malchance de tomber dans un pays qui sombre dans la guerre civile. Reparti en Zambie fin 2011, il fait partie du groupe qui remporte la CAN en février 2012.

1er janvier 2005
Pär Bengtsson

Bien avant Kim Källström, Andreas Isaksson, Erik Edman et Petter Hansson, Pär Bengtsson avait été le premier suédois à revêtir le maillot du Stade rennais, dans les années 1950. Après avoir débuté sa carrière à Halmstad, sa ville natale, il intègre Elfsborg, l'un des clubs majeurs du pays. En 1948, il est retenu pour participer aux Jeux olympiques de Londres. Il côtoie dans la sélection le trio composé de Gunnar Gren, Nils Liedholm et Gunnar Nordahl qui fera les beaux jours de l'AC Milan et de la sélection suédoise, finaliste de la Coupe du monde 1958. L'équipe de Suède, Bengtsson lui n'y goûtera jamais. Il ne dispute même aucun match lors du tournoi olympique. Cela ne l'empêche cependant pas de rejoindre une Italie en pleine scandinavo-mania, en signant pour un Torino tout juste auréolé du titre national en 1949, mais qui vient de perdre tout son effectif dans la catastrophe de Superga. Bengtsson reste un an en Italie, puis passe la frontière et signe à l'OGC Nice. Membre de la grande équipe azuréenne du début des années 1950, il remporte deux fois le titre de champion de France, et une Coupe de France. Malgré cela, dès 1952, il choisit de signer à Toulouse, alors en D2. En Haute-Garonne, Bengtsson démontre ses talents de buteur, et aide le club à monter dans l'élite. Mais finalement, lui reste en D2 en choisissant de signer au Stade rennais. En Bretagne, Bengtsson termine sa carrière par deux années de D2. Fer de lance de l'attaque rennaise en compagnie de l'Espagnol José Caeiro, il marque 31 buts en l'espace de deux saisons. Insuffisant pourtant pour permettre aux « Rouge et Noir » de retrouver l'élite. En 1955, âgé de 33 ans, il quitte le club pour mettre un terme à sa carrière professionnelle. Bengtsson meurt en octobre 2007.

1er janvier 2005
Guy Rabstejnek

Natif de Saint-Malo, Guy Rabstejnek joue pendant la guerre à l'USSM avant de rejoindre le Stade rennais en 1946. Frère de Joseph, qui porte en même temps que lui les couleurs rouges et noires, ce milieu offensif passe cinq saisons au Stade rennais, jusqu'en 1951. Il dispute plus de 80 matchs de première division et marque onze buts à son poste de milieu offensif. En 1951 et pendant deux ans, il part continuer sa carrière professionnelle avec l'AS Monaco en deuxième division. Il y dispute une quarantaine de matchs avant de mettre un terme à sa carrière professionnelle. Par la suite, il devient éducateur au Croisic, et est notamment le découvreur de Bernard Blanchet, futur attaquant du FC Nantes et de l'équipe de France.

1er janvier 2005
Patrice Carteron

Alors qu'il évolue au Stade briochin, Patrice Carteron est déjà remarqué par le Stade rennais. Par un concours de circonstances, les deux parties se ratent, et Carteron passe finalement professionnel au Stade lavallois, avec qui il débute en D2. Recruté deux ans plus tard par le Stade rennais, il s'installe comme titulaire inamovible au poste d'arrière gauche. Défenseur de devoir, il dispute une centaine de matchs sous les couleurs rennaises, puis prend du galon en signant à l'Olympique lyonnais. Il y continue sa progression durant trois saisons, puis signe à Saint-Étienne en 2000, avant la grande période lyonnaise. Il reste cinq ans dans le Forez, trois saisons en L2 et deux en L1. Terminant sa carrière à l'AS Cannes, il y entame sa reconversion. D'abord recruteur, il prend ensuite en main l'équipe première. En juin 2009, il devient l'entraîneur de Dijon, qu'il fait monter en Ligue 1, puis devient sélectionneur du Mali trois ans plus tard, et le mène à la troisième place de la CAN en 2013. Malgré cela, il décide de prendre la tête du TP Mazembe quelques mois plus tard, et remporte la Ligue des champions africains avec le club congolais. En janvier 2016, il quitte le Congo et prend la tête d'un club égyptien, dont il part quelques mois plus tard, pour finalement s'engager avec Al-Nassr (Arabie Saoudite) en janvier 2017.

1er janvier 2005
Alain Rizzo

Originaire de Marseille, Alain Rizzo effectue ses premiers pas au SO Caillols, dans la cité phocéenne, club qui révélera également Jean Tigana et Éric Cantona. Il est ensuite recruté par l'OGC Nice en 1966 et dispute quelques matches en première division, aux côtés de Marcel Aubour et de Charly Loubet notamment. Mais Nice descend en seconde division à l'aube de l'exercice 1969-1970, et il ne joue qu'une seule rencontre de championnat, avant de signer à Arles la saison suivante, équipe fraîchement promue en D2. Il n'y reste qu'une seule saison et rejoint l'ES La Ciotat, avec qui il réalise un très bon championnat, en terminant à la quatrième place de seconde division. Il dépose finalement ses valises à Rennes en 1972, afin de palier au départ de Zygmunt Chlosta et à la retraite de René Cédolin. Dès son arrivée, il s'impose de suite dans le collectif rennais et dispute l'intégralité des trente-huit matches de championnat. Titulaire indiscutable de la charnière centrale stadiste, il joue durant cinq saisons en Bretagne. Malheureusement, le Stade rennais est relégué en D2 en 1976, avant de remonter illico presto au sein de l'élite la saison suivante. Mais à cette époque, Rennes fait l'ascenseur et retourne une nouvelle fois à l'échelon inférieur en 1977. Le club breton connait alors de gros soucis financiers, et Alain Rizzo doit quitter le club de la capitale bretonne. Il signe alors un contrat avec l'Olympique avignonnais en D2, où il évolue durant quatre saisons, et croit même pouvoir remonter en première division lors de l'exercice 1979-1980. En effet, après avoir dominé le SRFC lors du premier tour de l'épreuve des barrages (0-0 puis 3-2), l'Olympique avignonnais est finalement battu par Lyon et n'obtient pas son ticket pour la D1. Avignon est relégué en 1981, et Rizzo met alors un terme à sa carrière professionnelle. Il entrainera ensuite quelques équipes amateurs, dont le club de l'Isle-sur-la-Sorgue durant treize années.