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La victoire en Coupe de France en 1965
La victoire en Coupe de France en 1971
Le match contre la Juventus Turin en 1999
La victoire en Coupe Gambardella en 2003
La victoire en Coupe Gambardella en 2008

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1er janvier 2005
Laurent Huard

Enfant du pays, formé au club, Laurent Huard a longtemps fait figure de pilier dans l'effectif du Stade rennais. Il fait ses débuts professionnels à dix-sept ans seulement, lancé dans le grand bain par Raymond Keruzoré, et reste durant neuf ans sous les couleurs rouges et noires, étant de toutes les galères et de toutes les joies du club durant les années 1990. Ne rentrant plus dans les plans de Paul Le Guen, il quitte finalement le Stade rennais en 1999, et continue sa carrière à Sedan, alors en D1. Un an plus tard, il change de tunique verte pour endosser celle de Saint-Étienne. Malheureusement, sa carrière prend fin précocement : en 2002, à seulement 29 ans, il doit arrêter en raison de problèmes cardiaques. Ne l'oubliant pas, le Stade rennais lui offre une reconversion. Patrick Rampillon fait appel à lui, et lui offre une place comme éducateur au centre de formation quelques mois plus tard. Il entraîne alors notamment les 16 ans, puis est promu en 2006. Appelé auprès de Pierre Dréossi en équipe première, il est alors entraîneur-adjoint chargé des jeunes joueurs de l'effectif pro. Une mission qui ne dure qu'une saison : en 2007, il est appelé à remplacer Landry Chauvin comme entraîneur de la réserve. Un poste qu'il occupe durant huit ans, malgré la descente de son équipe de CFA en CFA2. En 2015, finalement, Laurent Huard laisse sa place à Julien Stéphan auprès de la réserve : alors que le club lui avait proposé un autre poste aux contours plus flous, il décide de quitter Rennes pour devenir entraîneur des équipes de jeunes du Paris Saint-Germain.

1er janvier 2005
Kévin Bru

Kévin Bru, le frère de Jonathan (formé lui aussi au Stade Rennais et vainqueur de la Coupe Gambardella en 2003), a effectué ses débuts « chez les grands » en 2006-2007. Pilier de l'équipe réserve, régulièrement appelé dans les équipes de France de jeunes, il est récompensé de ses progrès par la signature de son premier contrat professionnel en janvier 2007. En manque de temps de jeu, il est ensuite prêté successivement à Châteauroux puis à Clermont, en Ligue 2, afin de parfaire son apprentissage du haut niveau. En janvier 2010, ne parvenant toujours pas à convaincre son monde en équipe première, il est finalement transféré à Dijon. Il évolue ensuite à Boulogne et Istres, puis prend la direction de l'étranger (Levski Sofia, Ipswich).

1er janvier 2005
Vicky Peretz

Efficace buteur venu d'Israël, Isaac (dit « Vicky ») Peretz connaît les plus belles heures de sa carrière avec le Maccabi Tel-Aviv. En 1977, il réalise avec son équipe le doublé coupe-championnat, et est même sacré meilleur buteur de la Liga Leumit israélienne. International, il quitte finalement son pays en 1980, et rejoint le RC Strasbourg, sacré un an plus tôt champion de France. En deux saisons de D1, il marque quatorze puis treize buts. Malgré ces bonnes statistiques, il est transféré au Stade rennais en 1982, alors que le club breton évolue en deuxième division. Son transfert intervient dans le cadre d'un accord entre les deux clubs, les dirigeants rennais renonçant à engager le Hondurien Porfirio Betancourt en échange de l'arrivée de Peretz. Les Rennais ne le regretteront pas, Peretz réalisant une excellente saison 1982-1983, à l'issue de laquelle le SRFC retrouve l'élite. Auteur de dix-sept buts en championnat, il laisse un excellent souvenir en Bretagne lorsqu'il décide de rentrer en Israël en 1983. Peretz retrouve alors « son » Maccabi Tel-Aviv avant de terminer sa carrière dans des clubs moins huppés. Par la suite, il devient entraîneur, s'occupant notamment de l'équipe d'Israël des moins de 16 ans.

1er janvier 2005
Michel Sorin

Natif de Mayenne, Michel Sorin débute sa carrière de joueur professionnel à Laval, en 1980. Six ans plus tard, il quitte son département natal, transféré au Brest Armorique. Dans le Finistère durant trois ans, ce solide défenseur évolue au côté de Paul Le Guen, puis rejoint le Stade rennais en 1989, un club avec lequel il débute une longue histoire. Michel Sorin joue ainsi durant sept ans à Rennes, cumulant près de 200 matchs en D1 et D2, et connaissant deux accessions dans l'élite et une relégation à l'étage inférieur. Mettant fin à sa carrière en 1995, il devient rapidement entraîneur, et dirige d'abord l'équipe réserve des Rouge et noir. Pendant une parenthèse de cinq ans, il découvre ensuite le football entreprise en entraînant les Municipaux de Rennes, puis prend en main l'US Changé et l'US Saint-Malo. En 2002, suite au remplacement de Philippe Bergeroo par Vahid Halilhodžić, Michel Sorin fait finalement son retour au Stade rennais, en qualité d'adjoint. Un poste qu'il conserve ensuite sous la direction de Laszlo Bölöni puis de Pierre Dréossi, dirigeant les entraînements, en compagnie notamment de Philippe Redon. Lorsque, fin 2007, Pierre Dréossi abandonne la fonction d'entraîneur à Guy Lacombe, Michel Sorin est brièvement nommé recruteur, puis quitte le club quelques semaines plus tard. Il débute alors une nouvelle carrière d'entraîneur en Afrique, à la tête d'un club puis de la sélection du Bénin. Courant 2011, il rentre finalement en France, et devient l'entraîneur de l'AS Vitré, qu'il fait monter de CFA2 en CFA.

1er janvier 2005
Éric Guérit

Ancien professionnel passé notamment par les Girondins de Bordeaux, Éric Guérit s'est longtemps destiné à la fonction d'entraîneur. Une fonction occupée une première fois lors de 7 matches alors qu'il était encore joueur de l'effectif bordelais. Coéquipier de Pierre Dréossi alors que les deux hommes évoluaient à Cannes, Guérit est appelé en janvier 2007 par le manager du Stade rennais, et occupe durant sept ans un poste de recruteur au sein du staff breton. Durant son parcours rennais, il dirige à quelques reprises l'équipe réserve, assurant l'intérim durant un long arrêt maladie de Laurent Huard. En décembre 2014 finalement, quelques mois après le licenciement de Dréossi, Éric Guérit quitte à son tour le Stade rennais. En mai 2016, il retourne aux Girondins de Bordeaux, toujours en qualité de recruteur.

1er janvier 2005
Maxime Brillault

Formé au Stade rennais, Maxime Brillault le quitte en 2002, alors qu'il est âgé de 19 ans. Ce défenseur central trouve ensuite un point de chute à Niort, puis à Orléans en CFA. En 2006, il passe professionnel en signant à Libourne Saint-Seurin et fait ses débuts en Ligue 2. Il joue alors trois saisons consécutives à ce niveau, avec Libourne puis à Amiens. Après un exil d'un an et demi en Belgique, il signe en janvier 2011 à Vannes, et fait donc son retour en Bretagne. Un come-back d'un an seulement, puisqu'il est laissé libre puis retourne à Orléans en novembre 2012. Avec le club du Loiret, Maxime Brillault connaît la joie d'une montée en Ligue 2 en 2014. Transféré la saison suivante à Brest, il ne s'y impose pas, puis retourne en National en 2016, en signant à Boulogne-sur-Mer.

1er janvier 2005
Udo Horsmann

Originaire du Nord-Ouest de l'Allemagne, Udo Horsmann fait ses débuts professionnels avec le grand Bayern Munich. Coéquipier en défense de Franz Beckenbauer, il joue pendant huit saisons en Bavière, se taillant un beau palmarès. Champion d'Allemagne à deux reprises, il remporte surtout le titre de champion d'Europe en 1976, face à l'AS Saint-Étienne, puis la Coupe intercontinentale. Pour autant, Horsmann reste relativement discret dans l'effectif du Bayern, n'étant par exemple jamais sélectionné en équipe d'Allemagne. En 1983, il quitte finalement la Bundesliga pour rejoindre la France et le Stade rennais, tout juste remonté en Division 1. Titulaire toute la saison, le plus souvent en défense centrale avec Dominique Marais, il ne brille pourtant que modérément. La descente immédiate du club en D2 précipite finalement son départ de Bretagne. Horsmann retourne alors en Allemagne, et joue encore deux saisons au haut-niveau, d'abord avec Nuremberg puis avec Munich 1860. Après sa carrière, il devient architecte d'intérieur et designer.

1er janvier 2005
Jacques Niclause

La présence de Jacques Niclause dans les annales du Stade rennais tient presque du hasard. À la toute fin de la saison 1959-1960, l'équipe première expérimente une pénurie de gardiens : le titulaire habituel, Jacques Rouillé, est blessé, tandis que son remplaçant Bernard Josse doit jouer un match capital avec l'équipe amateur. Dans l'urgence, le club engage Jacques Niclause, ancien du Racing Club de Paris, alors présent sur Rennes et libre de tout contrat. Il joue ainsi deux rencontres, à Valenciennes puis face au Stade français, pour deux défaites (0-3 puis 2-3). Il retourne par la suite au Racing, puis joue à Meaux quelques années plus tard.

1er janvier 2005
Felix Katongo

Recrue surprise du mercato d'hiver 2008, le Zambien Felix Katongo s'annonce alors comme l'une des curiosités de l'effectif de Guy Lacombe. Suivi « depuis longtemps » (selon l'intéressé) par Pierre Dréossi, ce milieu de terrain de poche, « capable de jouer dans l'axe ou sur les côtés », tente alors de se faire un nom en Europe, après avoir écumé les championnats zambiens, sudafricains et angolais. Las, le joueur n'évolue qu'une seule fois avec les pros, lors d'un match de Coupe de la Ligue, devant se contenter principalement de matches de CFA. En manque de temps de jeu, un prêt catastrophique à Châteauroux (L2) met fin à son aventure française. Katongo retourne alors en Afrique du Sud, et évolue même sous les ordres de Hristo Stoïchkov. Il découvre ensuite la Libye, mais a la malchance de tomber dans un pays qui sombre dans la guerre civile. Reparti en Zambie fin 2011, il fait partie du groupe qui remporte la CAN en février 2012.

1er janvier 2005
Pär Bengtsson

Bien avant Kim Källström, Andreas Isaksson, Erik Edman et Petter Hansson, Pär Bengtsson avait été le premier suédois à revêtir le maillot du Stade rennais, dans les années 1950. Après avoir débuté sa carrière à Halmstad, sa ville natale, il intègre Elfsborg, l'un des clubs majeurs du pays. En 1948, il est retenu pour participer aux Jeux olympiques de Londres. Il côtoie dans la sélection le trio composé de Gunnar Gren, Nils Liedholm et Gunnar Nordahl qui fera les beaux jours de l'AC Milan et de la sélection suédoise, finaliste de la Coupe du monde 1958. L'équipe de Suède, Bengtsson lui n'y goûtera jamais. Il ne dispute même aucun match lors du tournoi olympique. Cela ne l'empêche cependant pas de rejoindre une Italie en pleine scandinavo-mania, en signant pour un Torino tout juste auréolé du titre national en 1949, mais qui vient de perdre tout son effectif dans la catastrophe de Superga. Bengtsson reste un an en Italie, puis passe la frontière et signe à l'OGC Nice. Membre de la grande équipe azuréenne du début des années 1950, il remporte deux fois le titre de champion de France, et une Coupe de France. Malgré cela, dès 1952, il choisit de signer à Toulouse, alors en D2. En Haute-Garonne, Bengtsson démontre ses talents de buteur, et aide le club à monter dans l'élite. Mais finalement, lui reste en D2 en choisissant de signer au Stade rennais. En Bretagne, Bengtsson termine sa carrière par deux années de D2. Fer de lance de l'attaque rennaise en compagnie de l'Espagnol José Caeiro, il marque 31 buts en l'espace de deux saisons. Insuffisant pourtant pour permettre aux « Rouge et Noir » de retrouver l'élite. En 1955, âgé de 33 ans, il quitte le club pour mettre un terme à sa carrière professionnelle. Bengtsson meurt en octobre 2007.