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24 octobre 2012 | à 09h56

Loïc Lambert. Profession : milieu de terrain

Un œil dans le rétro. Formé au Stade lavallois, Loïc Lambert a disputé plus de quatre cent matches professionnels, en D1 et D2. Joueur émérite, il a pris part à la remontée du SRFC parmi l'élite hexagonale en 1994. Stade Rennais Online revient pour vous sur la carrière du milieu de terrain manceau.

Loïc Lambert. Profession : milieu de terrain

Un Sarthois prophète en Mayenne

Né le 26 octobre 1966 au Mans, dans la Sarthe, Loïc Lambert démarre sa jeune carrière de footballeur dans sa ville natale. Il rejoint ensuite le centre de formation du Stade lavallois, à l’aube de ses seize printemps. Rapidement un cran au-dessus de ses adversaires, le prometteur milieu de terrain remporte la Coupe Gambardella en 1984, au côté de Bertrand Reuzeau notamment. Et de fil en aiguille, Loïc Lambert tape rapidement à la porte de l’équipe fanion du Stade lavallois. C’est chose faite dès 1985, au détour d’une rencontre opposant Laval à Auxerre, le 16 juillet 1985 au stade Francis le Basser. Milieu de terrain de devoir, il s’affirme comme un titulaire indiscutable de l’entrejeu mayennais, et ce dès sa première saison au plus haut niveau. Travailleur de l’ombre, doté d’un fort volume de jeu, il joue cent vingt matches de D1 entre 1985 et 1989. Durant cette période, Loïc Lambert fait bien évidemment partie de ces joueurs essentiels au bon rendement de son équipe. Auteur de sept buts dans l’élite, ce « joueur-guerrier » au gabarit moyen mais à l’activité de tous les instants, est devenu l’un des piliers du Stade lavallois. Malgré la régularité de ses performances, Laval descend dans l’antichambre du football hexagonal, au terme d’une catastrophique saison 1988-1989. Le milieu terrain sarthois accompagne alors le club mayennais en D2, avec l’objectif d’une remontée immédiate. Malheureusement, les hommes de l’entraîneur Michel Le Milinaire ne réussissent pas leur pari. Âgé de 24 ans, le Manceau d’origine décide de quitter la Mayenne, après cinq saisons de bons et loyaux services dans le club qui l’a révélé aux yeux du grand public. Débarqué à Saint-Étienne avec l’étiquette d’un joueur expérimenté, Loïc Lambert éprouve cependant quelques difficultés pour s’imposer sous sa nouvelle tunique. À cette époque, les « Verts » évoluent dans le ventre mou du championnat de D1. Il dispute finalement trois saisons dans le Forez (74 matches, deux buts), avant de mettre le cap à l’Ouest. Direction Rennes. Arrivé en même temps que l’emblématique Michel Le Milinaire, qu’il a connu à Laval, Loïc Lambert est l’un des artisans principaux de la remontée du club breton en D1, au terme de l’exercice 1993-1994. Très précieux dans l’entrejeu stadiste, il marque son premier but sous les couleurs rouges et noires, à l’occasion d’une rencontre opposant Rennes à Rouen (1-0), au soir de la vingt-troisième journée de seconde division (championnat à vingt-deux clubs). À la trente-huitième minute de jeu, la défense bretonne décide de remonter activement le ballon sur le côté droit. François Denis alerte alors Jean-Luc Vasseur, qui sert parfaitement Loïc Lambert. Après un premier contre, l’ex-stéphanois trouve Majid Musisi dans l’axe. Une-deux impeccable avec l’attaquant stadiste, qui permet au milieu de terrain manceau de glisser le ballon hors de portée de Palatsi, le gardien rouennais. Le tour est joué. Tout au long de la saison, l’homme de l’ombre récupère beaucoup de ballons, et apporte une réelle stabilité à l’ensemble rennais. Buteur à Charleville (1-0) puis contre Nancy (2-0), il ouvre une voie royale à ses coéquipiers. Deuxième derrière Nice, Rennes retrouve l’élite deux saisons après l’avoir quittée.

Lambert du décor

Pour son retour en D1, le Stade rennais doit patienter jusqu’à la quatrième journée du championnat pour goûter aux joies d’un succès. Ce soir-là, Ulrich Le Pen inscrit son premier but au sein de l’élite juste avant la mi-temps. Puis, au cours de la seconde période, Loïc Lambert voit son tir relâché par Gaëtan Huard, permettant à l’attaquant helvétique Marco Grassi d’ouvrir son compteur buts sous la tunique rennaise. Rennes domine Bordeaux sur le score de deux buts à zéro, et lance définitivement sa saison par la même occasion. À l’époque, l’ancien stéphanois navigue sur le flanc droit du collectif breton, et a la totale confiance de l’entraîneur costarmoricain. Grand récupérateur , Loïc Lambert ratisse un nombre incalculable de ballons dans l’entrejeu, jusqu’à devenir la clé de voûte de l’organisation de « Mimi ». Bien décidé à briller de mille feux avec le SRFC, il enfile le bleu de chauffe lors de la réception de Montpellier (2-2). En effet, sur un centre de Le Pen, renvoyé dans l’axe par la défense héraultaise, Lambert déclenche une frappe très pure, qui se glisse au ras du poteau droit de Claude Barrabé. Par le biais de son premier but en D1 avec le Stade rennais, le joueur sarthois permet au club breton de recoller aux basques de l’équipe de l’emblématique « Loulou » Nicollin. Joueur de devoir, à l’instar de son capitaine François Denis, Loïc Lambert est rarement décevant. Pendant ce temps, Rennes assure brillamment son maintien face à Martigues (5-1), à deux journées du terme du championnat. Le milieu de terrain sarthois en est le premier ravi : « On finit la saison en boulet de canon. C’est de bon augure pour la saison prochaine. On repartira sur de bonnes bases ». Finalement 13ème de D1, le Stade rennais a conjugué les résultats à la manière. Stabilisateur du milieu de terrain, Loïc Lambert a grandement contribué à la bonne tenue de l’équipe rennaise. Les ambitions bretonnes sont ainsi revues à la hausse la saison suivante. Bon tireur de coup-francs à ses heures perdues, Lambert se charge également de transformer les penalties, comme lors d’un succès contre Bastia (2-0). Régulièrement à l’affût du moindre ballon qui traîne, le Manceau est un atout supplémentaire sur les phases offensives. Perfectionniste, il pense que le SRFC a les moyens de réaliser une belle saison. Et il a raison. Dans le sillage de Sylvain Wiltord, Rennes rêve désormais d’Europe. En effet, le SRFC a surtout le pied marin en cette saison 1995-1996. Le club breton réalise de bonnes performances à domicile, et des moins abouties loin du stade de la route de Lorient. Lors de la poule retour, l’association des deux récupérateurs Laurent Huard - Loïc Lambert fait beaucoup de bien dans l’entrejeu stadiste. Aux portes de la coupe UEFA après un succès de prestige face à l’AJ Auxerre de Guy Roux (2-1), Loïc Lambert aimerait bien accrocher un strapontin en fin de saison. Même s’il n’a pas directement participé à l’aventure européenne du Stade lavallois, le milieu de terrain a humé l’odeur si particulière de ces grands rendez-vous lorsqu’il était aspirant. Celui qui se rend souvent disponible sur et en dehors du terrain, se confie d’ailleurs avant une affiche de gala opposant les deux clubs ennemis de l’Ouest : « Rennes - Nantes, cela n’a rien à voir. Les vrais derbys, ce sont les matches entre Lyon et Saint-Étienne. Ils vous donnent la chair de poule. C’est la haine entre les deux clubs, entre les deux villes. Les gens sont là trois heures avant le début de la rencontre et il en faut bien quatre au public adverse pour quitter l’enceinte du stade ». Il rajoute que : « Sportivement cela correspond à une autre place. Cela veut dire que nous ferions partie des cinq six meilleures équipes françaises. Mais pour atteindre cet objectif, il faudra prendre le dessus sur Nantes. Il n’y a pas à réfléchir. Si on se contente de bien jouer et de faire courir le ballon, on passera à côté. Il faudra aller vite et nous avons les arguments pour le faire. Rappelez-vous au match aller, on les avait dominés de la tête et des épaules » souligne-t-il.

1994

Une carrière pleine

Mais comme lors de la première manche (2-2), Rennes est accroché par le FC Nantes de son ami Jocelyn Gourvennec, au terme d’un match fou (2-2). Il explique après la rencontre : « On s’est fait tirer l’oreille dans la mesure où on menait 2-0. On avait fait le plus difficile mais le fait de prendre un pénalty cinq minutes avant la mi-temps a relancé le match. Malheureusement, c’est sur une erreur d’arbitrage. Monsieur Leduc nous a mis dedans ce soir mais ce n’est pas une surprise ». Frustré, le SRFC voit ses ambitions européennes s’éloigner du même coup. Rennes termine finalement huitième, et découvrira la défunte Coupe Intertoto. En fin de contrat, Loïc Lambert signe alors pour trois saisons supplémentaires. Mais l’exercice 1996-1997 n’est pas du même tonneau pour le club phare de la Bretagne. Les résultats ne sont pas bons. Heureusement, Stéphane Guivarc’h se présente comme le messie (meilleur buteur du championnat) tant attendu, permettant au SRFC de se maintenir péniblement en D1. Cette saison-là, le Sarthois est au centre du dispositif rennais et distille toujours quelques bons ballons à ses attaquants. Rennes peine surtout à l’extérieur, comme il tente de l’expliquer après une nouvelle défaite en déplacement à Lyon (2-0) : « On n’est pas prêt à livrer des combats à l’extérieur. Or, je suis désolé, c’est en se battant qu’on arrivera à ramener quelque chose. On plaide coupable. Nous sommes fautifs. Il faut agir au plus vite, réaliser un travail psychologique et tenter autre chose dans le style, la façon de se préparer. Il y a certainement beaucoup de choses à changer » admet-il. Yves Colleu tente pourtant de trouver la bonne solution, afin de guérir les maux de son équipe. Il offre ainsi de nouvelles fonctions à Saliou Lassissi dans un rôle de milieu de terrain axial, avec Lambert et Huard à ses côtés. Une nouvelle disposition tactique qui apporte davantage de volume de jeu, à un collectif breton qui en manque désespérément. Au cours de la saison, Loïc Lambert est intronisé plusieurs fois Capitaine de l’équipe stadiste. Dans le même temps, les recrues du mercato Kjetil Rekdal et Allan Johnston déçoivent. Ce sont finalement les jeunes du centre de formation (Bigné, Lassissi et Dabo) qui sauvent la mise et maintiennent le SRFC à quai. Buteur à Bordeaux (2-2) dès la troisième journée, puis à Paris (1-4) deux semaines plus tard, Loïc Lambert est en forme en ce début de la saison 1997-1998. Mais ce n’est pas le cas du SRFC, qui enchaîne défaite après défaite. À l’époque, beaucoup de joueurs dont les recrues Di Costanzo, Jinani, Rossi, Hobsch ou Weiser sont blessés. De ce fait, le SRFC doit encore une fois s’appuyer sur la jeunesse de son centre de formation. Dans ce bac à sable rouge et noir, Loïc Lambert fait ainsi office de vétéran de la bande mais ne s’en plaint pas : « C’est bien pour l’avenir du club. Et pour le présent aussi  ». Mais au cours de la saison, il est supplanté par les performances du Thouarsais Stéphane Grégoire, et se retrouve petit à petit sur le banc. En effet, Guy David préfère se reposer le plus souvent sur la doublette Viaud-Grégoire pour tenir le ballon en milieu de terrain. Loïc Lambert inscrit cependant un dernier but sous les couleurs rouges et noires, lors du derby face à Nantes (3-0). Très peu utilisé lors de la phase retour, au contraire d’un Laurent Huard revenu en odeur de sainteté auprès de l’entraîneur marseillais, il dispute son dernier match à Lens, lors de la 31ème journée du championnat. Capitaine de l’équipe, il ne peut cependant éviter la défaite stadiste (3-0). Plus tard, Kaba Diawara se présente comme le sauveur rennais, à l’ultime journée du championnat face à Toulouse. Sous la coupe du regretté Guy David, Loïc Lambert aura disputé la bagatelle de dix-neuf matches et marqué trois buts. Il dispute ensuite une dernière saison professionnelle à l’ASOA Valence en D2, avant de rejoindre l’AS Vitré. C’est là qu’il prépare sa reconversion, en prenant en charge les équipes de jeunes vitréennes. Après quelques tentatives à Bruz, La Vitréenne et Changé (CFA2), il revient finalement au Stade rennais en 2007. À Rennes, il déboule en remplacement de Michel Beaulieu, et devient responsable de la section amateur. Dans la foulée, il prend en charge l’équipe C du SRFC. En 2012, après un mandat de cinq années, il quitte la capitale bretonne pour devenir adjoint au Poiré-sur-Vie, et s’occuper dans le même temps de l’équipe réserve du club, en CFA2.

Sa carrière en bref

Joueur :
US Le Mans
1982-1990 : Stade lavallois
1990-1993 : Saint-Étienne
1993-1998 : Stade rennais FC
1998-1999 : ASOA Valence
1999-2000 : AS Vitré

Entraîneur :
AS Vitré (jeunes)
FC Bruz
2004-2005 : La Vitréenne
2005-2007 : US Changé
mai 2007 - juin 2012 : Stade rennais FC
Depuis juin 2012 : Le Poiré-sur-Vie VF (adjoint et entraîneur réserve)

Sources :
- Wikipedia
http://www.stadelavallois-museum.com
- Archives Ouest France

Sources photos :
srfc.frenchwill.fr
- Archives Ouest France

Vos réactions (17 commentaires)Commenter
Pietro24 octobre 2012 à 11h40

Loïc Lambert, ou le football vrai. Merci Rodi, encore et toujours pour ces fiches rétro ! Toujours des choix de joueurs pertinents, et des articles rafraîchissants.

Rodighiero24 octobre 2012 à 12h26

Merci Pietro. C’est sympa. :)

Dirk diggler24 octobre 2012 à 14h12

Un tacheron sympathique ce Lambert comme tant d’autres passés par Rennes.

Dirk diggler25 octobre 2012 à 07h09

Loic Lambert mobilise les foules.. Ca fait peur !! (ahah)
Je pense qu’une grande majorité s’en fout,moi le 1er,mème si j’en parle histoire de faire revivre sa légende (esprit du matin,esprit taquin).
ALLEZ LOIC ALLEZ LOIC ALLEZ !!!
J’attends l’article sur David Merdy avec impatience..

Joséphine Ange Gardien25 octobre 2012 à 10h23

Heureusement, tu ne représentes pas la majorité silencieuse, « Dick ». Car si l’on s’en tient à la seule pertinence de tes messages, la France serait donc tombée bien bas (Et je sais de quoi je parle, puisque je me « tape » - il n’y a pas d’autres termes plus avantageux - tes messages dénués d’intérêt sur ce site depuis des lustres. Quelle tristesse).
Heureusement (bis), il y a des contributeurs plus intéressants sur ce site. Parce que si la majorité imbécile (dont tu fais partie) s’intéresse plus à la longueur de la bite de Yannou M’vilain qu’à autre chose, il existe encore des participants plus futés et cultivés. Dieu soit loué.
L’anti-culture n’a pas encore pignon sur rue dans ce pays. Heureusement (Ter). J’espère que tu auras saisi le fond de ma réplique (Y’a peu de chances, mais l’espoir fait vivre).
JAG

Louis G25 octobre 2012 à 11h14

Loïc Lambert fait partie de ces joueurs dont on parle peu et que l’on aurait tendance à oublier malgré un palmarès bien fourni...en plus, milieu de terrain c’est vraiment ingrat comme métier...ce joueur n’a donc pas démérité à Rennes et hors de Rennes...par contre j’ai suivi l’équipe de Rennes 3 avaec lui pendant de nombreuses années et je ne connais toujours pas les raisons pour lesquelles il nous a quitté cette année !...Raison professionnelle ?....raison personnelle ?...quelqu’un peut-il éclairer ma chandelle ??...

Dirk diggler25 octobre 2012 à 19h57

Le message de « josephine » à mon encontre est d’une violence..
Presque jamais vu autant d’agressivité sur un commentaire.
La haine et la frustration dégoulinent littéralement de ces écrits.
Je me demande si il n’y a pas confusion avec un autre contributeur.
Il n’y a pas « des lustres » que je suis sur le site (environ 1an) et un peu plus assidu depuis 6 mois. Mes messages un peu légers ou humoristiques ce comptent sur les doigts d’une main et jamais infamant. Pour le reste je ne suis ni plus ni moins pertinent ou intéressant qu’un autre sur SRO me semble t-il.
Ma pauvre "Josephine"j’ai évidemment pas apprécié ton attaque personnelle mais je ne la comprends pas non plus.
Tu fais référence a « la bite de yannou Mvilain » comme si je n’écrivais que sur des trucs de ce genre,a croire que tu me prends pour un Jean-Marie Bigard en plus trash..
Tu confonds a n’en pas douter !!
Quitte a ce faire insulter autant que ce soit justifié. Tu dois pouvoir me citer si je t’acable autant.
C’est quand mème bizarre alors que tu dis que « ça fait des lustres » que t’en peut plus de mes posts que je n’ais pratiquement voir jamais entendu parler de toi .
Je n’ais jamais eu de réel problème avec qui que ce soit ici et toi tu débarques comme une fleur d’on ne sait ou et tu tires à vue.
Je me suis toujours fixer comme règle de base de ne jamais insulter personne ici et lorsque je ne suis pas d’accord avec tel ou tel commentaire j’exprime mon point de vue dans la limite de la décence.
Si de temps en temps il y a une pointe d’humour,de décontraction et que cela te dépasses j’en suis navré.
Bonne soirée a toi Joséphine fan numéro 1 de Loic Lambert.

Dirk diggler25 octobre 2012 à 20h26

et s’il vous plait pas de mépris pour ceux qui ne pensent pas comme vous.
Spécialement pour Josephine= Qui es-tu pour juger de l’intélligence ou de la culture de quelqu’un ?? Le dieu des commentaires sportifs ??
Ni condéscendance ni mépris,merci !!

Dirk diggler25 octobre 2012 à 20h48

Louis G,
je peux avancer une hypothèse concernant le départ de Lambert.
Il me semble qu’il quitte le club en 1998 date a laquelle Pinault reprend le Stade Rennais.On peut donc penser que Lambert ne correspondait pas a la nouvelle politique qui allait ce mettre en place. A savoir mise en place d’une équipe un peu plus « bling bling » de meilleur standing et malheureusement pour Lambert il incarnait « le vieux Stade Rennais » celui qui jouait le maintien. Pinault a voulu tourner la page et a commencé par les hommes sur le térrain.

Bibi peau de chien26 octobre 2012 à 10h50

Tout à fait d’accord avec toi Dirk ; la vulgarité & les insultes ne devraient pas avoir droit de cité sur ce forum !
Laissons celà à des peudo Bigard - lui ce « scato soit disant catho ! » .
Quant à utiliser le terme lustre , je ne sais si certains qui l’emploient en connaissent la valeur en années .
Effectivement je n’avais encore pas vu la signature de ce « Joséphine . . . etc . . . » .
Bonne journée & vive l’humour . . . & . . . le Stade !

Dirk diggler26 octobre 2012 à 12h27

Bibi peau de chien, comme le dirait Obama « j’approuve ce message ».
Des frustrés il y en a partout mème sur ce site en la personne de « Josephine ». Cette personne s’est défoulée sur moi mais je ne lui en veut plus. J’espère que c’était un égarement passagé.

Joséphine Ange Gardien26 octobre 2012 à 12h54

« Frustrée » de lire des messages comme les vôtres, oui. On se croirait parfois sur les sites sportifs des « Grands » clubs Français (Bonjour Tristesse). Entre parenthèses, sache que j’ai réussi à satisfaire l’ensemble de mes désirs (Et tu n’en fais pas partie, je te rassure). Et surtout, je vais très bien. Épanouie comme jamais. Mais merci de vous en soucier, cher « Cookie Diggler ». Simplement, si tel ou tel sujet ne vous convient pas, vous pouvez toujours passer votre chemin et ne pas le commenter. En général, lorsqu’un sujet ne m’intéresse pas, je ne le glose pas (Étonnant non ?), tout simplement. Personnellement, j’ai effectivement de la sympathie pour Loïc (et j’ai raison). Et je tiens d’ailleurs à remercier l’auteur d’avoir retracé sa carrière.
Pour le reste, JAG ne commente que très rarement les articles de ce site. Sauf pour y apporter certaines rectifications si nécessaire. Vous retrouverez ma magnifique plume un peu partout... surtout en début de saison dernière, à l’époque où notre club chéri défiait les artilleries lourdes européennes. Depuis, le manque de temps m’a obligée à ne plus en perdre avec les « Humoristes en herbe » de ce site.
À très bientôt.
PS : Pour Bibi(te). Je me suis faite lustrée hier soir. Heureux ? J’aurai dû prendre plus au sérieux cette citation : « Avant d’obliger un homme, assurez-vous bien d’abord que cet homme n’est pas un imbécile ». Pauvre de moi.

Trie le fond il vole neuf26 octobre 2012 à 13h29

Toujours aussi incisive la Joséphine ! Ne change pas. Moi, je t’aime.

yan5926 octobre 2012 à 13h53

Joséphine présidente
joséphine présidente

angélique marquise des anges 26 octobre 2012 à 13h58

«  la sympathie pour Loïc (et j’ai raison) » comme le cidre ....????

Alain Bashung26 octobre 2012 à 15h01

Osez osez Joséphine !

jerem221er novembre 2012 à 13h17

Bel article de notre ami rodi ! ca fait du bien de se remémorer ces souvenirs !

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