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19 janvier 2013 | à 22h00

Pierrick Hiard, légende vivante du Stade rennais

Un œil dans le rétro. Formé à Rennes, Pierrick Hiard est certainement le plus grand gardien qu’ait connu le club phare de la Bretagne. Finaliste de la Coupe UEFA avec Bastia en 1978, le dernier rempart breton a également remporté la Coupe de France avec le club corse. Stade Rennais Online revient pour vous sur le parcours sportif de l'enfant de Guignen.

Pierrick Hiard, légende vivante du Stade rennais

Figure emblématique du Stade rennais

Pierrick Hiard est né le 27 avril 1955 à Rennes. Jeune gardien prometteur, il signe au SRFC alors qu’il n’a que dix ans. Il s’agit d’ailleurs d’une belle histoire de famille, puisque son père était lui aussi gardien de but dans le club amateur de Guignen. De ce fait, Pierrick Hiard écume très tôt les terrains de la région, afin d’y apprécier les prestations de son papa. Lancé dans le grand bain du football, il se distingue rapidement grâce à des qualités au-dessus de la moyenne. Pur produit de la désormais célèbre formation rennaise, il incorpore l’équipe de France juniors en 1971 aux côtés d’Omar Sahnoun, Maxime Bossis, Dominique Rocheteau, Didier Six ou encore Jean Fernandez. Avec ses parents, il vit également l’apothéose de la finale de la Coupe de France 1971 dans les tribunes de Colombes. Pendant ce temps, Pierrick Hiard rêve de devenir gardien de but professionnel et pointe déjà le bout de son nez. Encore junior, il effectue ses premiers pas en D1 le 17 janvier 1973, face au Paris FC (2-2) dans l’enceinte du mythique Parc des Princes. Sacré baptême du feu, pour celui qui a été appelé au dernier moment pour palier à la blessure de Daniel Bernard, le gardien habituel. L’entraîneur rennais René Cédolin n’a cependant pas hésité une seule seconde. En effet, il sait qu’il peut faire confiance au jeune portier stadiste. Pierrick Hiard n’a alors que dix-sept ans et demi seulement, mais un avenir radieux se présente déjà devant lui. À cette époque, c’est Marcel Aubour en personne qui lui prodigue ses précieux conseils. La même année, il remporte la Coupe Gambardella en compagnie de Jean-Luc Arribart et de Christian Gourcuff notamment. C’est d’ailleurs le premier succès de prestige chez les jeunes, pour le club phare de la Bretagne. D’autres suivront, mais c’est une autre histoire. Dans la foulée, Pierrick Hiard signe un son premier contrat professionnel avec les « Rouge et Noir ». Encore trop tendre pour le haut niveau, il évolue pendant trois saisons complètes avec l’équipe réserve en D3. En parallèle, il dispute cinq matches de D1 au cours de la saison 1974-1975. Descendu un temps en seconde division, Rennes retrouve l’élite à l’orée de l’exercice 1976-1977. Sous la houlette de son entraîneur Claude Dubaële, Pierrick Hiard en profite pour se montrer de plus en plus à son avantage, mais doit cependant pratiquer l’alternance avec Daniel Bernard. Les deux gardiens disputent ainsi dix-neuf matches chacun de championnat, mais ne peuvent éviter une nouvelle descente du club breton à l’étage inférieur. Vingtième de première division, le SRFC a encaissé la bagatelle de soixante-dix-neuf buts durant la saison. Mais Daniel Bernard est en fin de contrat à l’issue de ce délicat exercice, et décide de rejoindre le Paris Saint-Germain. C’est fait, Pierrick Hiard a désormais le champ libre pour s’improviser gardien « numéro 1 » du club phare de la Bretagne. Titularisé de la première à la dix-septième journée, le club breton doit pourtant se résoudre à le céder en janvier 1978, du fait d’importants problèmes de trésorerie. Ce Rennais pur beurre va alors connaître une période faste avec le Sporting Club de Bastia. Il reviendra sur les circonstances de sa venue en terre bastiaise quelques années plus tard : « J’ai dû quitter la Bretagne pour que mon transfert puisse soulager la trésorerie du Stade rennais. Mon départ pour Bastia a permis à Rennes de ne pas s’arrêter ». Débarqué sur l’île de beauté dans le but de suppléer les deux gardiens Ognjen Petrović et Marc Weller, Pierrick Hiard se forge rapidement une place au soleil. Gardien fougueux et téméraire, il profite ainsi des blessures successives des deux portiers corses, pour obtenir une place de titulaire au sein de la belle équipe bastiaise.

Premier match en D1 pour Pierrick Hiard, 1973

Une inoubliable épopée européenne

Dans la foulée, il participe à la folle épopée corse en Coupe UEFA. Il réalise notamment une performance de haute volée, lors du quart de finale aller face aux Allemands du Carl Zeiss Léna (7-2). Il dispute ensuite les deux demi-finales face au Grasshopper Zürich (2-3 puis 1-0 à Bastia). C’est l’emblématique Claude Papi qui donne la victoire à son équipe lors du match retour, et permet ainsi au Sporting de se qualifier pour la finale. Un authentique exploit, à la vue des moyens financiers dont dispose le club corse. Quinze jours plus tard, Pierrick Hiard est encore titularisé face aux Néerlandais du PSV Eindhoven, et repousse tant bien que mal les assauts répétés des frères Van de Kerkhof (0-0). C’est le même refrain au match retour, mais avec moins de réussite pour Bastia cette fois-ci. En effet, le PSV l’emporte logiquement sur le score de trois buts à zéro, et s’adjuge la première Coupe d’Europe de son histoire. La déception est de rigueur côté corse, mais cette aventure a tenu la France entière en haleine. Vient ensuite le temps des blessures pour Pierrick Hiard. L’ancien rempart rennais se blesse tout d’abord à l’épaule en mai 1978, puis est opéré du genou en septembre de la même année. Ses malheurs ne sont pas terminés, puisqu’il a la pommette enfoncée en février 1979. Sa carrière est même sur le point de s’arrêter après cette dernière grave blessure. Cela ne l’empêche pourtant pas de supplanter Marc Weller quelques mois plus tard, et de s’imposer comme le gardien titulaire du Sporting. Dans la foulée, Bastia remporte la Coupe de France 1981 face à la grande équipe de Saint-Etienne (2-1), et obtient ainsi son premier titre majeur. Ce soir-là, c’est Pierrick Hiard qui fait l’étalage de toutes ses qualités. Les gants en feu, il repousse toutes les tentatives stéphanoises avec brio, en s’employant sur des tirs de Johnny Rep et de Laurent Roussey notamment. Mais surtout, il stoppe un pénalty de l’inénarrable Michel Platini. C’est grâce à ses exploits et aux deux réalisations de Louis Marcialis et de Roger Milla, que Bastia remporte le trophée que toute l’île de beauté attendait depuis longtemps. Malgré le succès, le Breton reste simple et discret : « Ma passion, en dehors du football, c’est la pêche. À Bastia, je me contente de la ligne mais en Bretagne, je pars en mer en famille. Nous posons les casiers et tirons les filets. C’est très excitant ». Dopé par ses belles performances avec son club, Pierrick Hiard est sélectionné en équipe de France à l’automne 1981. Sous la coupe de l’emblématique Michel Hidalgo, le portier breton dispute son seul et unique match en « bleu » face à la Belgique, le 9 septembre 1981 à Bruxelles. Battus par les « diables rouges » sur le score de deux buts à zéro, Michel Platini et ses coéquipiers se montrent totalement impuissants lors de cette rencontre, en dépit de la rentrée pleine de fraîcheur de Yannick Stopyra à l’heure de jeu. De son côté, Pierrick Hiard n’a pas non plus été à la fête et ne convainc pas le sélectionneur tricolore. Candidat sérieux à la place de troisième gardien de but, il croit pourtant en sa bonne étoile : « Le bon parcours en Coupe avec Bastia me remet en selle pour la troisième place de gardien de but en Espagne. Baratelli et Castaneda ont la chance de jouer dans des clubs dont on parle tout au long de la saison. Pour ce qui me concerne, il faut attendre la Coupe de France pour retrouver mon nom dans les journaux. Je suis cependant en tête du classement des étoiles du magazine France Football. Je vais donc essayer de me distinguer en cette fin de saison et d’attirer l’attention de Michel Hidalgo sur mes performances ». Malheureusement, le rempart breton ne dispute pas la Coupe du Monde 1982 en Espagne. C’est en effet Jean-Luc Ettori qui fera le court voyage jusqu’en péninsule ibérique.

Son unique sélection en équipe de France, 1981

Le symbole rennais

Avec son club d’adoption, il prend part à une seconde épopée européenne en 1982. Bastia est finalement éliminé en huitièmes de finale de la coupe des Coupes, par le Dinamo de Tbilissi. Pierrick Hiard est également demi-finaliste de la Coupe de France contre l’ASSE, et doit s’incliner sur des tentatives de Larios et de Platini. C’est l’avènement du phénomène Pascal Olmeta, qui oblige le gardien breton à quitter la Corse à l’issue de l’exercice 1982-1983. De retour à Rennes, le « casse-cou » rennais accompagne les rouges et noirs en D1 comme en D2. Fraîchement remonté en première division à l’aube de la saison 1983-1984, le SRFC nourrit de nouvelles ambitions. Revenu au pays, Pierrick Hiard ne perd pas ses vieilles habitudes et s’impose de suite comme le gardien titulaire. Mais blessé dans un choc avec Horsmann, il est cependant sérieusement blessé au cours de la saison. Gilles Bourges assure alors l’intérim pendant quatre matches. Malheureusement, le Stade rennais connaît un championnat cauchemardesque, malgré les neuf réalisations de sa fine gâchette Yannick Stopyra. Bon dernier de D1, Rennes retrouve encore une fois l’antichambre de l’élite. À l’orée de la saison 1984-1985, Pierrick Hiard demande alors à être placé sur la liste des transferts. Il est d’ailleurs annoncé un temps à Porto. Son transfert avorté, il doit se résoudre à rester dans la Capitale bretonne. Dans la foulée, il joue l’intégralité des trente-quatre matches de son équipe en championnat. Troisième de D2, Rennes doit disputer les barrages, et remonte dans l’élite au terme d’une folle soirée à Rouen. Pierrick Hiard est le héros de la séance des tirs au but, comme un certain Marcel Aubour quelques années plus tôt en Coupe de France. Il commente cette accession historique : « Je n’avais pas vécu un tel calvaire depuis une finale Gambardella. On sait que la D1 est au bout et qu’on a ça dans la tête. Si ça rate, c’est affreux. Deux fois, ce soir, on a la possibilité, avant que Doaré ne nous sauve la mise, de passer et on ne le fait pas. Cela dit, le sport a gagné. On les a baladés aux quatre coins du terrain. Je crois que si nous avions échoué après tout ça, on ne s’en serait jamais remis ». Sous la houlette de Pierre Mosca, le SRFC réalise un beau parcours en championnat l’année suivante. 13ème de D1, le club breton assure tranquillement son maintien et se distingue également en Coupe de France, où il est éliminé par l’Olympique de Marseille en demi-finale (0-1 puis 1-1). Malheureusement, le seconde saison consécutive du Stade rennais en D1 s’avère catastrophique. L’équipe prend l’eau de toutes parts, sans que Pierrick Hiard ne puisse y faire grand chose. Placé sur la liste des transferts à l’orée de l’exercice 1987-1988, le dernier rempart rouge et noir reste finalement à Rennes, où il ronge son frein pendant neuf mois. Il effectue son retour dans les cages bretonnes, le 20 février 1988 contre Strasbourg (4-0). Titulaire indiscutable l’année suivante, Pierrick Hiard et Rennes échouent à la troisième place de seconde division, et doit une nouvelle fois passer par l’épreuve des barrages d’accession. Défait par Nîmes (1-0), le SRFC rate encore la marche. Pierrick Hiard reste pourtant optimiste : « L’attitude des gens autour du club nous aide à digérer cela. Curieusement, ils ne sont pas trop déçus. Ils disent : ce n’est pas grave, vous avez réalisé une super-saison, ne cherchez pas à aller trop vite. Nous devons avoir l’ambition de remonter : Rennes ne peut se permettre de demeurer trop longtemps en D2. En deux ans de travail, de sérieux, le club, hier moribond, a été remis sur les rails. Nous n’aurons pas le droit, l’an prochain, de nous rater ». Message reçu cinq sur cinq par ses camarades, puisque le Stade rennais retrouve l’élite à la dernière seconde de l’ultime journée de championnat à Lorient (2-0). L’action est devenue célèbre : Dégagement de Hiard, débordement de Falette et but de Jean-Christophe Cano.

Malgré les coups de tête de François Omam-Biyik, Rennes souffre pour son retour en D1 lors de l’exercice 1990-1991. De son côté, Pierrick Hiard est en concurrence avec Franck Mantaux tout au long de la saison. Il décide alors de prendre sa retraite en 1992, après quatorze années disputées sous la tunique rouge et noire. Attaché au club et à la ville, l’ancien gardien de but international intègre le staff de l’équipe fanion comme entraîneur des gardiens jusqu’en 2003. Fier et toujours amoureux de « son » club, il affirme en 1994 : « Malgré les hauts et les bas, l’amour pour nos couleurs demeure, il est ancré dans les murs ». Personnage emblématique du Stade rennais, il prend également en charge la quatrième équipe séniore rennaise jusqu’en 1999, puis devient même un temps entraîneur de l’équipe réserve. Il cède finalement sa place à Christophe Lollichon en 2003. Puis, il devient superviseur du SRFC jusqu’en 2007 avant de prendre les rênes de la cellule de recrutement . Un poste qu’il occupe toujours aujourd’hui. Véritable légende vivante du Stade rennais, Pierrick Hiard détient le record du plus grand nombre de matches joués comme gardien du club phare de la Bretagne, juste devant Louis Pinat.

Sa carrière en bref

Joueur :
1965-décembre 1977 : Stade rennais FC (passe professionnel en 1973)
décembre 1977-1983 : SC Bastia
1983-1992 : Stade rennais FC

Entraîneur :
juin 1991 - juin 2003 : Stade rennais FC (gardiens)

Recruteur :
depuis juin 2003 : Stade rennais FC (responsable)

Sources :
- Wikipedia
- « Le Stade rennais, fleuron du football breton » de Claude Loire, Ed. Apogée.
- « Les grands noms du football breton  » par Georges Cadiou
- Site officiel du Stade Rennais FC
forum footnostalgie

Sources photos :
forum footnostalgie

Vos réactions (9 commentaires)Commenter
Dirk diggler20 janvier 2013 à 00h33

Big respect à Mr Hiard !! un homme qui a le Stade Rennais dans le sang.
Si je devais citer le meilleur gardien de but de tous les temps du Stade je ne saurais dire car je n’ai qu’une vingtaine d’années de recul,sinon pour ma période 1990-2013 je dis Petr Cech !!

Louis G20 janvier 2013 à 07h06

Pierrick Hiard est un modèle de fidélité à son Club formateur...il faut souligner aussi qu’il a démarré en D1 au Stade Rennais dans de bonnes conditions avec René Cédolin comme entraineur , Louis Cardiet comme capitaine et Marcel Aubour notre glorieux ancien goal comme conseiller !!...un grand merci à Rodi de nous faire revivre sa carrière dans notre Club de coeur qui aura connu des hauts et des bas pendant cette période... et aussi son parcours et ses succès avec le Sporting Club de Bastia notre adversaire du jour...

mangeclou20 janvier 2013 à 08h11

Pierrick Hiard, c’est quand j’étais enfant, le gardien revêtu de son éternel maillot gris et noir estampillé du fameux « Puma ». C’est ce gardien qui, dans un tic insensé relevait sans cesse ce même maillot avec de petits gestes nerveux sur chacune de ses hanches. C’est ce gardien imbattable sur sa ligne, impérial dans les sorties dans les pieds de ses adversaires, mais aussi ce gardien fragile dans les sorties aériennes. Mais pour le petit garçon que j’étais, Pierrick Hiard restera ce gardien à qui j’ai marqué un but lors d’un stage de football... même si je soupçonne aujourd’hui, Monsieur Hiard, de m’avoir aidé.

Péno20 janvier 2013 à 09h15

Il a encore fière allure Pierrick pendant son footing dominical a Cesson Sevigne. Pareillement, au cours d’un stage a Dinard, j’avais échoue sur penalty face a lui...Olmeta jouait un peu dans le même registre, pile électrique qui faisait le spectacle !

guevara6720 janvier 2013 à 16h52

Que de souvenirs me revienne avec Pierrick Hiard ce gardien mythique ! quelle présence sur sa ligne et quelle tonicité dans les duels en un contre un ; seul bémol, ses sorties aériennes où son manque de taille le handicapait mais il n’était pas pire que Ettori, lui qui était titulaire en EDF en 1982 et qui nous a couté si cher ce fameux 8 juillet contre l’Allemagne... Un grand merci encore, Pierrick, pour ta fidélité au club. Ah ! j’oubliais ! cette fameuse montée à Lorient en 1990 et ton altercation avec Le Garrec, ton alter ego, près du rond central, mémorable...

Modérateur21 janvier 2013 à 09h12

Les messages n’ayant aucun rapport avec le sujet sont (et seront) supprimés. De même que les « Trolls » en tous genres.
Merci de votre compréhension.

L’aboyeur de mordelles bas21 janvier 2013 à 22h13

Pierrick Hiard nous a tous fait rêver avec des « claquettes » sur sa ligne nous faisant gagner des matchs. Et oui ce match pour la montée à Lorient(Gourvenec en face), l’altercation avec Le garrec. Il l’a volait tellement cette montée pour SON cher stade. Un grand joueur de club. On avait trinqué ce soir là avec lui Bourges le président, Van Den Bogard et toute l’équipe. En suivant le car de retour sur Rennes, ma voiture a explosé sur le Mail.
Et c’est encore Pierrick qui faisait la fête place de la mairie une bonne partie de la nuit.
Et c’est lui qui fait aussi monter Rennes à Rouen après cette inoubliable série de pénaltys. Que de bon souvenirs avec ce joueur, même si la période était moins faste, mais différente et heureuse quand même, car on espérait toujours « vivre ce que l’on connait aujourd’hui ».

22 janvier 2013 à 21h20

Merci pour tes explications Monsieur le censeur de 9h12.
En somme, ici, on n’a pas le droit de critiquer. Il faut être de l’avis du rédacteur de l’article ??!!
Simplement en disant que Petr Cech était le meilleur gardien Rennais de tous les temps ? Ca suffit pour se faire censurer ?
Bien sur ça n’a pas de rapport avec l’article ??!!
Par moment ce forum me fait penser au public de la route de Lorient : bien policé....
Bravo Monsieur le censeur…

Le censeur22 janvier 2013 à 22h33

De rien Monsieur l’Anonyme.
De la même manière, pensez-vous que votre premier message (pour mémoire) : « Le plus grand c’était Isaksson je crois : 1,99 m » avait une quelconque utilité ?
Sincèrement ?
Apportait-t-il une plus-value ? Regardez-moi droit dans les yeux (...).
Si vous n’avez rien à dire à propos d’un sujet (peu importe lequel), vous pouvez aussi vous abstenir de le commenter. Personne ne vous le reprochera.
Pour le reste, votre pamphlet (vos pleurnicheries, plutôt) ne mérite pas que je m’y attarde plus longuement.
Cordialement, mais pas plus.

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