Bastia - Rennes : les confrontations

Publié le 10 décembre 2014 à 15h54 par Nils, Rodighiero

Ligue 1, Bastia - Stade rennais, samedi à 20h. En Corse, Rennes va tenter de montrer que la claque reçue face à Montpellier le week-end passé n'était qu'un accident de parcours. Les Rennais ne l'ont pas emporté depuis 2001 au stade Armand-Cesari, la dernière victoire bretonne contre Bastia à l'extérieur ayant été acquise... à Gueugnon, en janvier 2013.

L’adversaire

Le Sporting Club de Bastia a été officiellement fondé en 1905. Après seize années d’existence, le club corse est enfin affilié à la FFFA (prédécesseur de la FFF). Dans la foulée, le stade du Docteur Luciani, situé à Furiani, est inauguré le 16 octobre 1932. La guerre totale enfin terminée, l’antre de Furiani est renommée du nom d’Armand Cesari, un joueur et ancien capitaine émérite qui a évolué sous la tunique corse dans les années 1930. Plus tard, le Sporting dispute la Coupe de France pour la première fois, à l’orée de l’exercice 1947-1948. Dans le même temps, le SCB remporte de nombreux succès en Division d’Honneur (Championnat de Corse) entre 1922 et 1959. À cette époque, le club phare de l’île de beauté ne rêve que d’une seule chose, accéder au Championnat de France amateur. En effet, aucun club corse n’est encore autorisé à disputer des compétitions hexagonales. C’est chose faite au cours de la saison 1959-1960, qui voit le SC de Bastia connaître une première saison difficile en CFA.

En juin 1963, le Sporting Club de Bastia fusionne avec l’Étoile Filante Bastiaise, pour donner vie au Sporting Étoile Club de Bastia. Deux saisons sont alors nécessaires pour créer une véritable osmose au sein du club. Bastia découvre ainsi la seconde division lors de l’exercice 1965-1966. Le SECB termine ensuite champion de D2, et accède à l’élite professionnelle au cours de la saison 1967-1968. Pour ses débuts en D1, Bastia effectue même l’un des meilleurs parcours de sa vieille et riche histoire. Sous la coupe de Lucien Jasseron, le SECB accroche la sixième place du championnat. Les deux saisons suivantes ne sont malheureusement pas du même tonneau pour le club corse, le Sporting ne devant d’ailleurs son salut qu’à la terrible épreuve des barrages, lors de la saison 1969-1970. Peu importe, Bastia atteint la finale de la Coupe de France en 1972. Soutenu par tout un peuple, les Bastiais doivent pourtant s’incliner face à l’Olympique de Marseille (1-2), brisant ainsi le rêve fou de toute une île. Dans la foulée, le Sporting découvre les joies des rencontres européennes à couteaux tirés. Défait par l’Atlético Madrid sur l’ensemble des deux matches (0-0 puis 1-2), Bastia mesure tout le chemin qu’il lui reste à parcourir.

Par la suite, le SEC Bastia réalise une incroyable saison 1976-1977. En effet, le club corse échoue sur le podium de la D1, mais loin derrière les intouchables joueurs nantais. Ceci dit, Bastia inscrit la bagatelle de 82 buts, faisant de l’équipe corse l’une des attaques françaises les plus efficaces.
Vient l’heure de tenter une seconde expérience sur le tapis européen, au cours de l’exercice 1977-1978. Le SEC Bastia signe alors l’un des plus grands exploits de l’histoire du football français, en parvenant en finale de la Coupe UEFA. Après avoir enchaînés sept victoires consécutives, les Corses sont finalement battus par les Néerlandais du PSV Eindhoven, à l’issue des matches aller-retour (0-0, puis 0-3). Malgré la déception légitime, Claude Papi et ses partenaires ont fait vibrer les passionnés du ballon rond.

Trois années plus tard, le SEC Bastia remporte enfin la Coupe de France, en finale face aux « Verts » de l’exceptionnel Michel Platini (2-1, au Parc des Princes). Pourtant, les années se suivent mais ne se ressemblent pas : Bastia a, par la suite, beaucoup de mal à réaliser de bonnes performances en championnat. Le Sporting s’enlise petit à petit dans le ventre mou de la Division 1. Il connaît même les peines d’une relégation à l’échelon inférieur, après avoir terminé lanterne rouge de D1 en 1986. Entre 1968 et 1986, Bastia a joué dix-huit années d’affilée parmi l’élite, et met huit saisons avant de retrouver une place au soleil.

En 1988, c’est la scission avec l’Étoile Filante Bastiaise, et le club devient le Sporting Club Bastiais, puis, trois ans plus tard, reprend le nom de Sporting Club de Bastia. Quelques mois plus tard, le club affronte l’Olympique de Marseille dans le cadre des demi-finales de la Coupe de France. Cette rencontre doit être une fête. Malheureusement, la tribune Nord du stade de Furiani s’effondre, conduisant à la plus terrible catastrophe de l’histoire du football français. En ce 5 mai 1992, dix-sept supporters périssent dans la tragédie, qui fera également plus de deux mille blessés. Mais tel un phénix, Bastia renaît rapidement de ses cendres. Deux saisons après le drame, le Sporting retrouve des ailes et accroche le bon wagon de D2. Celui qui conduit le Sporting vers la D1, en compagnie de l’OGC Nice et du Stade rennais.

Pour son retour parmi l’élite, Bastia éprouve rapidement quelques difficultés. Frédéric Antonetti prend ainsi les rênes du Sporting en cours de saison, après s’être occupé des jeunes pendant de nombreuses années. Dans la foulée, Bastia réussit un très beau parcours en Coupe de la Ligue, mais est battu en finale par le Paris Saint-Germain (0-2) de Luis Fernandez. Comme en 1972, Bastia rate encore la dernière marche, malgré l’efficacité d’un certain Anton Drobnjak sur le front de l’attaque corse. La saison 1996-1997 permet à Bastia d’accrocher la septième place du championnat, et qualifie ainsi le club pour la défunte Coupe Intertoto, et ce pour la première fois de son histoire.
Le parcours corse dans la compétition est parfait. Bastia arrive jusqu’en finale et vient à bout des Suédois d’Halmstad (0-1, puis 1-1). Les « Lions bleus » obtiennent ainsi le droit de humer la bonne odeur de la Coupe UEFA. Vainqueur de Benfica (1-0 puis 0-0) en 32èmes, le Sporting est ensuite opposé au Steaua Bucarest, champion d’Europe des clubs en 1986. Défait à l’aller (0-1), Bastia l’emporte sur le score de trois buts à deux au retour, mais quitte la compétition avec les honneurs. Devenue une icône du football corse, Frédéric Antonetti décide de stopper l’aventure à l’issue de la saison 2000-2001.

Sous la houlette de Robert Nouzaret, Bastia s’ouvre ensuite une voie royale vers le stade de France, en parvenant une nouvelle fois en finale de la Coupe de France. Mais battue par le FC Lorient (0-1), sur une réalisation de l’ancien attaquant rennais Jean-Claude Darcheville, Bastia échoue une nouvelle fois dans sa conquête d’un titre.
Le plus dur reste cependant à venir. Redescendu en Ligue 2 au terme de l’exercice 2004-2005, Bastia s’effondre en National cinq saisons plus tard, avant de faire rapidement l’ascenseur. Un retour express sur le devant de la scène, grâce notamment aux qualités de Sadio Diallo. Les Bastiais disputent ainsi leur troisième saison consécutive en Ligue 1 depuis leur remontée.

Les confrontations

La première confrontation entre les deux équipes a lieu le 22 septembre 1968, à l’occasion de la première saison en Division 1 de Bastia. Rennes s’impose alors 2-1 au stade Armand-Cesari, à la faveur de... deux buts bastiais inscrits contre leur camp par le gardien Paul Orsatti et le défenseur François Gandolfi, qui dévia une tête de Silvester Takač. Battu ensuite 7 fois en 8 matchs, le Stade rennais attendra 17 ans avant de l’emporter de nouveau en Corse, en 1985, grâce à des buts d’Eddy Voordeckers et de Jacky Charrier.

Après déjà une première période sans confrontations entre Bastia et Rennes (de 1976 à 1984), le SCB évoluant pendant 6 saison en Division 2, suivent plusieurs années durant lesquelles les deux équipes ne se rencontrent plus (de 1985 à 1993), faute de jouer dans la même division ou d’être présent dans le même groupe de D2. Lors de la saison 1993-1994, qui marque la nouvelle formule d’une seule poule de D2 à 22 clubs, Bastia et Rennes décrochent tous deux leur accessit pour l’échelon supérieur, terminant chacun avec 53 points (Rennes s’inclinant 2-1 à Furiani).

Depuis cette date, le bilan est équilibré entre les deux équipes : en 13 confrontations, Bastia et Rennes l’ont chacun emporté à 5 reprises, contre 3 matchs nuls. La dernière victoire rennaise remonte au 20 janvier 2013, mais la rencontre avait alors été disputée... à Gueugnon, suite à la suspension du stade Amand-Cesari. Les buteurs bretons se nommaient alors Alessandrini et Erding. Pour retrouver un succès en terre corse, il faut remonter au 20 octobre 2001, quand le Stade rennais s’était imposé grâce à un doublé de Cyril Chapuis (1-2).

Bilan des Bastia - Stade rennais en L1 : 23 matchs, 12 victoires bastiaises, 4 matchs nuls et 7 victoires rennaises. 40 buts pour Bastia, 24 pour Rennes.

Bastia - Stade rennais : les confrontations (L1) |Create infographics
Bastia - Stade rennais : les buts (L1) |Create infographics

La saison passée : Bastia 1 - 0 Rennes

Lors de la dernière confrontation entre les deux équipes, le Stade rennais, mené dès la 8e minute de jeu après un but de Gianni Bruno, avait couru après le score durant toute la partie. Mais les Rennais, dépassés dans dans l’envie et l’agressivité par des Corses alors invincibles à domicile (5 victoires en 6 matchs), n’avaient jamais semblé en mesure de revenir dans la rencontre. Les Bretons, certes peu aidés par le vent en seconde période, n’auront aucune occasion à se mettre sous la dent lors des 45 dernières minutes.

Stade rennais : Costil - Danzé, Kana-Biyik, Armand, M’Bengue - Makoun, Bakayoko, Kadir (Romero, 74e) - Pitroipa (Konradsen, 80e), Oliveira, Alessandrini (Hunou, 67e).

Voir la feuille de match complète

Les dix derniers Bastia - Stade rennais

2013-2014 (L1) : victoire de Bastia 1-0 (Bruno)
2012-2013 (L1) : victoire de Rennes 2-0 (Alessandrini, Erding)
- 2004-2005 (L1) : match nul 1-1
- 2003-2004 (L1) : victoire de Bastia 3-2
- 2002-2003 (L1) : victoire de Bastia 3-1
- 2001-2002 (L1) : victoire de Rennes 2-1
- 2000-2001 (L1) : victoire de Rennes 2-0
- 1999-2000 (L1) : victoire de Bastia 4-2
- 1998-1999 (L1) : victoire de Rennes 1-0
- 1997-1998 (L1) : match nul 0-0

Crédit photo : Scb2b / Wikimedia Commons
Sources : Wikipedia, Corsefootball.fr

Vos réactions (19 commentaires)

  • Louis G

    10 décembre 2014 à 17h10

    D’habitude plutôt optimiste cette saison ; là je crains pour ce match à venir en terre de Corse...le Stade Rennais n’y a pas gagné depuis 2001 et la défaite face à Montpellier risque de peser encore dans les têtes !!...et notre Club de cœur nous a habitué après une bonne série aux matchs aller de connaitre ensuite un « trou noir » pendant quelques matchs...croisons les doigts en espérant que l’histoire ne se répète pas et que nous allons être en mesure ,cette année, de ramener quelque chose du pays d’Antonetti ??...

  • BONNET ROUGE

    10 décembre 2014 à 17h21

    Ce match va être un combat, un vrai match de coupe et les MODESTO, ROMARIC, CAHUZAC and Co vont le faire sentir aux rennais dès les 1ères minutes.
    BASTIA est dernier, avec un entraîneur intérimaire et un président en GAV.
    A part cela, tout va bien !
    Plus sérieusement, les rennais vont devoir tenir le choc physiquement et cela va être, à mon sens, la clé du match.
    J’avoue avoir un peu peur pour NTEP car il va être ciblé et il va falloir qu’il garde la tête froide.
    Sinon, GELSON va beaucoup manquer et KONRADSEN comme PAJOT vont avoir un rôle essentiel.
    Comme il est évident (comme toujours à l’extérieur) que MONTANIER va aligner un milieu plutôt défensif dans le couloir droit, j’aimerais voir, plutôt que MOREIRA, ANDRE à ce poste.
    Hormis à NANTES où il avait fait une mi-temps correcte après plus de 2 mois d’indisponibilité, il n’a joué que des bribes de match, 15 mn par çi-par là.
    Moi, ce joueur, il me plaît. Il va vite, a du jus et aime percuter.
    Alors, j’espère que MONTANIER va lui donner une vraie chance et pas faire comme avec HOSINER auquel il a fait un cadeau empoisonné la semaine dernière.
    Il faut du temps pour juger un entraîneur. Globalement, je le trouve intéressant dans sa méthode et sa communication mais...j’avoue être parfois surpris par certains de ses choix.
    Enfin, l’équipe doit se rattraper de sa déroute contre MONTPELLIER et doit ramener au moins le nul.
    Avec un dernier coup de collier contre REIMS, cela pourrait faire 32 pts et constituerait un excellent score à la trêve.

  • tenma

    10 décembre 2014 à 20h22

    @ louis G et 2012/2013 ???

  • Nils

    10 décembre 2014 à 21h49

    tenma > Tu prends le temps de lire les articles que tu viens commenter parfois ? Ou pas du tout ?

    En 2012-2013, le match avait eu lieu à Gueugnon. Face à Bastia, le Stade rennais n’a donc pas gagné en Corse depuis 2001. C’est indiqué dès le chapô de l’article...

  • tenma

    10 décembre 2014 à 23h50

    excuse moi Nils ... entre les listes de noël et tes articles j’ai fait mon choix de lecture ! par contre il m’est arrivé quelquefois de les lire tes articles ... si si je te jure ... je sais plus quand mais ça m’est arrivé !

    c’est une blague là ... presque privée que notre modérateur saura apprécier à n’en pas douter !

  • tenma

    10 décembre 2014 à 23h54

    pourtant « en terre de corse » rennes a gagné en 2012/2013 4 à 2 je crois contre Ajaccio ... point de Bastia dans la phrase de Louis G !!! A malin malin et demi

  • Dirk diggler

    11 décembre 2014 à 00h04

    Ca on peut en etre sur : les bastiais vont nous rentrer dedans. Pour leur dernier match de championnat à domicile avant la trève,ils vont vouloir faire plaisir à leur public,sans oublier qu’en premier lieu ils ont un besoin urgent de points.
    Comme d’habitude cela va etre un combat,et notamment au milieu. L’absence de Gelson va encore se faire sentir.
    Ca n’engage que moi,mais j’espère que Konradsen ne sera pas titulaire.Il est vraiment trop tendre (malgré son gabarit).
    On devrait avoir Pajot/Doucouré + ?
    Moi j’opterai pour André. Plus « bagarreur » que Konradsen et Bruls.En plus il a l’avantage de connaitre parfaitement les corses,et voudra se montrer devant son ancien public.
    En tout cas,si on est juste un poil meilleurs que lors du dernier Bastia-Rennes,on a toutes nos chances. Bastia n’a depuis pas progressé,et nous,nous ne pouvons pas etre plus nuls que nous l’avions été.
    J’espère que Toivonen ne sera ni malade ou blessé samedi. Je crois que ça nous arrangerais tous.

  • Oisiveté Françi

    11 décembre 2014 à 00h10

    Autant j’avais un sale feeling contre Montpellier (augmenter par le forfait chelou de Toivonen) autant là je sens qu’on va gagner.
    On est meilleur à l’extérieur, il s’agit du dernier, et on doit rattraper la claque de Montpellier ... Il faut impérativement un résultat positif car le match de Reims va être encore plus compliqué.
    Victoire à Bastia et nul ou défaite contre Reims.
    Allez le stade !!

  • bernique1304

    11 décembre 2014 à 06h32

    ...C’est vrai tenma, lis les articles que les mecs se décarcassent à faire, merde quoi !!! Bon, je ne savais pas qu’une introduction d’article s’appelait un chapô, merci Nils, on apprend plein de trucs sur SRO !!!!!!!!!!

  • Krutusov

    11 décembre 2014 à 12h37

    @BONNET ROUGE, assez d’accord avec toi... Je pense que Montanier persiste à défendre à l’extérieur et que donc Moreira sera aligné à droite. C’est un peu surprenant, mais je pense que c’est cette recherche de solidité défensive qui a amené un liant entre l’attaque et le milieu, pas forcément visible en début de saison. Je préférerai aussi André dans ce cas-là. Mais je préférerai surtout Pedro Henrique tout court....

    Pour moi le plus grand soucis est Kondradsen, je suis le premier à remarquer son évolution physique et son envie à s’intégrer au groupe (me semble-t-il ?) mais je pense que ses nombreuses passes ratées contre Montpellier ont déstabilisées tout le bon collectif rennais et le mauvais mental (celui des finales de coupe) a pris le dessus instantanément...

    J’espère que N’tep et Toivonen vont arracher les Bastiais.

    Kénavo

  • 11 décembre 2014 à 12h52

    sauf que andré jouais a ajaccio et non bastia. oui grosse motivation pour se match qu’il faudra gagner et cette année y aura peut être pas le vent a 120 km heure comme la saison derniere

  • 11 décembre 2014 à 12h55

    Il va y avoir une énorme pression sur l’arbitre car Bastia s’est un peu fait enfler contre Evian, ça sent le traquenard ; je redoute un arbitrage « à la maison ». En plus, les corses ne méritent pas leur classement sur ce qu’ils ont montré le we dernier à Sainté, où ils auraient pu ( dû ) gagner. L’ambiance sera sans doute électrique, ça s’annonce compliqué. guevara67.

  • Dirk diggler

    11 décembre 2014 à 18h59

    En effet,André était ajaccien et non bastiais. Il connait quand mème les corses le gaillard.

  • tenma

    12 décembre 2014 à 07h46

    Une composition possible

    Costil
    Danze Mexer Armand MBengue
    Pajot Diagne
    Doucouré
    Bruls Ntep
    Toivonen

  • 12 décembre 2014 à 08h37

    bonjour a tous et a toutes

    je m exprime pas toujours , la je le fais car je viens de voir la composition de tenma et une question sur la quelle je me pausais on a tous vu sur le match de Montpellier surtout le milieu et l attaque , même si pour moi hosiner n était pas a sa place , j aurais peut être fais soufflé la défense sur les deux derniers matchs diagne aurait plus suppléé armand au Nice et mexer contre Montpellier et lui donné du temps de jeu .
    voila pour moi , je passe pour le match de bastia qu on peut gagné et les trois points le reste merci pour cet article très bien construit .

    mathieuu44 anti nantais

  • Oisiveté Françi

    12 décembre 2014 à 12h06

    Yo, ma compo pour ce match :
    Danzé, Mexer, Armand, Mbengue
    Pajot, Doucouré, Bruhls
    Moreira/André, Ntep, Toivonen.

    Changements, Konradsen, Henrique, Habibou.

    Allez le stade !

  • fada29

    12 décembre 2014 à 15h37

    Bonjour. Seule la victoire est belle, donc trois points pour le stade Rennais, au fait les compos c’est Montanier qui les fait, donc attendons le coup d’envoi !!!! ALLEZ LE STADE RENNAIS !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

  • SRFCfrom91

    13 décembre 2014 à 00h48

    Bonsoir, je me risque moi aussi à l’épreuve de la compo :
    Costil
    Danze-Mexer-Armand-M’Bengue
    Bruls-André-Doucouré
    Pedro Henrique-Ola-PG N’tep
    Tournez/tournons la page humiliation Montpellier !
    PS : je vous confirme que la guigne c’est moi : pas un match regardé pendant la série de 9, je me libère pour le MHSC et patatra...
    ALLEZ LES ROUGE ET NOIR !!!

  • Oisiveté Françi

    13 décembre 2014 à 13h12

    @SRFCfrom91 : c’est également cette composition que j’appelle de mes vœux. Compo offensive, contre le dernier ça semble raisonnable mais je ne pense pas que ça va être la compo de Mr Montanier ... heureusement ? Malheureusement ? Nous verrons bien :)

    Bon match à tous !! Rouge et noir en route pour la ? VICTOIRE :p

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