Warmed Omari : « Il a fallu que je comprenne qu’on comptait sur moi au club »
Dans un entretien accordé à So Foot, Warmed Omari est revenu sur la dure période traversée à son retour de blessure après la trêve hivernale.
Le 29 décembre dernier, Warmed Omari revenait sur le terrain face à Reims, après une trêve de coupe du Monde, mais surtout après plusieurs mois d’absence pour blessure. En difficulté lors de cette défaite, comme lors de celle face à Clermont le 11 janvier, le défenseur avait été mis sur le banc par la suite, avant de revenir face à Toulouse un mois plus tard.
« Je l’ai très mal vécu. Il y a ce match à Reims où l’équipe fait une contre-performance collective après laquelle le coach décide de faire certains choix et on se sent automatiquement visé… » confie t-il à So Foot. « Je me disais que j’allais retrouver ma place, puis j’ai vu les matchs s’enchaîner et je me suis dit que ça allait devenir compliqué. J’ai mal réagi au début. Je n’étais pas assez professionnel, j’étais un peu dans mon délire personnel à être énervé d’être sur le banc et ce n’était pas la bonne solution. Et ça s’est vu : j’étais mauvais sur le terrain. Il a fallu que je comprenne qu’on comptait sur moi au club, ça m’a permis de faire abstraction de tout ce qui avait été négatif depuis mon retour. »
« Ça fait du bien parfois d’entendre qu’on fait de la merde »
Et le défenseur de poursuivre. « En fait, j’ai senti un froid dans ma relation avec le staff, mais c’est peut-être moi qui l’ai installé aussi. Je n’étais plus souriant sur le terrain ni en dehors. Quand tu n’as pas un minimum de joie dans ce que tu fais, tu ne peux pas être productif. » Omari évoque ensuite « des discussions avec le coach et Flo Maurice. »
« Ils m’ont rassuré et m’ont fait comprendre que je me trompais de chemin, qu’il fallait que je me remette dedans et que ce n’était pas le bon Warmed qu’on était en train de voir. J’ai écouté leurs conseils, ceux de mes agents aussi, ça fait du bien parfois d’entendre qu’on fait de la merde. Il faut savoir se le dire quand c’est le cas. J’ai décidé de changer d’attitude et je suis content maintenant. »
Revenu contre Toulouse, Warmed Omari a désormais retrouvé sa place, et a été appelé avec les Espoirs pour ce rassemblement.
SA PLACE ! en foot il n’y a pas de place, il faut la gagner. Regardez bien la tête que fait Amine Gouiri, en ce moment c’est la même que celle d’Omari il y a quelque temps. Ils pensent que c’est l’exigence par rapport à eux, hé bien NON, c’est l’exigence par rapport à l’équipe et surtout au CLUB, j’ai souvent critiqué B Génésio , mais je lui tire mon chapeau, quand je mesure toute la psychologie qu’il lui faut pour gérer tout ce Bazard .
J’aime bien sa jeunesse et son état d’esprit .
Les paroles c’est bien, les actes c’est mieux .
Concentre toi sur ton travail , si tu veux progresser et surtout grandir dans ce milieu qui ne te fera pas de cadeau .
Allez Rennes !
Convoqué avec les espoirs
Un seul Rennais Titulaire avec les espoirs contre l’ Angleterre et c’est
Abline que l’on a prêté à Auxerre
Par contre Kalimuendo Gouiri Omari sont remplaçants
Surprenant non ?
Et Diouf que l’on a prêté avec option d’achat ???? à Bâle est Convoqué aussi chez les espoirs
Surprenant non ?
Warmed sur le banc. Oui, mais pour laisser sa place sur le terrain à Simakan, un temps sur les tablettes du Stade Rennais. Alors de quoi Lolo hostile se plaindre ? Il n’a même pas un mot pour l’adversaire du jour, et pourtant Djed Spence, notre Huggy les bons tuyaux reconverti en Carlos Alberto pour l’occasion remporte mine de rien son deuxième match d’affilé en à peine une semaine.
Et, quant à Gouiri et Kalimuendo, ils sont entrés respectivement -pour le peu de respect que Lolo leur accorde- à la 63eme et 74eme minute alors que le score n’était que de 1 à zéro en faveur des anglais. Apportant ainsi leur complémentarité légendaire pour aller décrocher cette magnifique défaite avec 3 buts encaissés dès le duo Gouirimuendo sur le terrain. Mais ça, Lolo feint de le voir. Alors fin de la critique, l’association Gouiri Kali,y’a pas mieux. Depuis le temps qu’on vous le répète. Et en ce qui concerne Diouf, je préfère m’arrêter là pour éviter d’alimenter toute escalade vers Bâle.
Et Abline : le néant