Kamaldeen Sulemana : « Toutes les deux semaines, le retour est reporté »
Dans un entretien donné au site officiel du club, Kamaldeen Sulemana évoque la dure période qu'il traverse.
Depuis le 11 février dernier et un match au Parc des Princes, Kamaldeen Sulemana est forfait, blessé au dos. Une blessure dont le staff médical peine à remettre l’attaquant, qui conserve peu de chances de rejouer cette saison avec Rennes.
« Cette blessure est plus longue que prévu. C’est un peu les montagnes russes. Au début de la blessure, après deux semaines, je me sentais bien. Je pensais pouvoir être de retour rapidement. » explique Sulemana sur le site du SRFC. « Tu reprends la course, tu reviens sur les terrains et là tu ressens une douleur. Puis tu retravailles dur, tu fais tout ce qu’il faut pour revenir et les douleurs reviennent de nouveau. Quand tu espères beaucoup et que ce n’est finalement toujours pas le moment du retour, c’est dur à accepter. J’aurais préféré qu’on me dise, tu en as pour trois ou quatre mois, c’est mieux pour le mental. Mais avec cette blessure, c’est impossible de pouvoir dire ce genre de chose. Là, toutes les deux semaines, le retour est reporté. »
En peu de match kamaldeen a montré tout son potentiel... c’est aussi une année d’adaptation pour lui nouveau pays nouveau championnat avec sans doute plus d’exigences physiques,une coupe d’Afrique, et tout ça avec un jeu très exigeant physiquement avec des accélérations brutales nécessitant sans doute des méthodes et des temps d’entraînement différents comme pour doku.... allez nos rois du dribble on croit en vous...
Il est le type même du sportif qui sollicite durement son corps ....Ce n’est pas sans nous rappeler d’autres jeunes passés dans la L1 puis oubliés après une fin de carrière très tôt en temps que professionnel ....
J’ose espérer qu’il ait une hygiène de vie irréprochable car oui il reviendra au haut niveau mais s’il passe du temps en boite de nuit ou autres occupations extra-sportive ( mode Neymar ) les blessures reviendront et les conséquences seront un immense gâchis