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9 août 2023 | à 18h51

Stade rennais : un recours en justice contre les travaux à la Piverdière

L’association La Nature en ville et le Collectif de la Prévalaye ont annoncé avoir déposé un recours en référé auprès du tribunal administratif pour obtenir la suspension des travaux à la Piverdière.

Stade rennais : un recours en justice contre les travaux à la Piverdière

Les travaux de rénovation et d’agrandissement du centre d’entraînement du Stade rennais ont commencé, mais le projet agace toujours ses opposants. Dans un communiqué commun relayé par Ouest-France, l’association La Nature en ville et le Collectif de la Prévalaye ont annoncé avoir déposé un recours en référé auprès du tribunal administratif. Leur objectif ? Obtenir la suspension des travaux à la Piverdière.

Ces opposants mettent en avant « l’insuffisance de l’étude d’impact qui montre clairement des espèces protégées au niveau national. Et pourtant ces travaux ont débuté en période de reproduction et nidification. » Ils dénoncent également « l’insuffisance de l’étude d’impact sur le thème de l’eau » et contestent « l’imperméabilisation des sols et l’usage de produits phytosanitaires dans une zone qui s’apparente à un bassin versant de la Vilaine ».

Pour finir, ils ajoutent que « le centre d’entraînement était déjà dans une situation illégale bien avant les travaux car il s’agit initialement d’une zone naturelle et le centre d’entraînement n’aurait jamais du exister à cet endroit ». En juin 2022, le Stade rennais avait présenté son projet à la presse en précisant que « la préservation du site sera au centre des préoccupations » et que les nouveaux bâtiments seraient éco-responsables. Le centre d’entraînement du Stade rennais doit passer de 11,5 à 15 hectares, la fin des travaux est prévue début 2026.

Vos réactions (5 commentaires)Commenter
Marcel Loncle9 août 2023 à 19h29

Les tarés essaient de se rendre intéressants.

Marco 9 août 2023 à 21h29

Il est temps qu’on fasse payer ces gens du surcoût qu’ils occasionnent sur les chantiers. Il manque peut-être une Loi de faire payer les contestataires qui perdent ? Sont-ils des contres tout ( travail, emplois ….. ) sont ils financer par nos impôts ? En subventions ? Connaissent ils l’agriculture, pour parler de cette façon . Arrêtons de subventionner toutes ces associations ANTI Tout.

COLIN philippe.colin7@wanadoo.fr9 août 2023 à 22h42

les contestataires rennais font-ils un concours, ceux de Cleunay ne veulent pas de la Piverdière
les écologistes ne veulent du départ du Tour de France dans la ville de Rennes
Les étudiants de l’Université de Rennes II s’acharnent à détruire la salle de la Cité
Ceux de Maurepas ne veulent plus de la patinoire des Gayeulles
Ceux de Liffré d’une usine Bridor (500 emplois)
A qui le tour, que tous ces collectifs de drôles de citoyens se réunissent en création Anti-Tout et nous fiches la paix
Nous supporters du Stade Rennais nous nous préoccupons que de notre club

Philippe un des vieux supporters du Stade

KINGHUB10 août 2023 à 12h41

Des urluberlus qui pensent que la vie d’un moustique vaut celle d’un humain,et j’en passe et des meilleurs.. Ces gens là doivent vraiment avoir trop de temps libre pour réfléchir à des moyens d’emmerder son monde.
Tout le monde est pour la protection de la nature,sauf quand c’est de l’écologie hystérique,extrémiste.
J’espère qu’ils vivent en adéquation avec leur « idées »,qu’ils n’ont pas de voitures et qu’ils vivent dans des habitations en boue séchée.
Allez le Stade ! Continuons à grandir.

JoS10 août 2023 à 14h17

L’écologie est une « discipline » que tout un chacun doit pratiquer...
...les écologistes - surtout en France les « écolos-pastèque » - sont le CANCER de la société.
La meilleure ineptie de ces abrutis « le centre d’entraînement était déjà dans une situation illégale bien avant les travaux car il s’agit initialement d’une zone naturelle et le centre d’entraînement n’aurait jamais du exister à cet endroit » bon alors dans ce cas détruisons Notre-Dame de Paris, le Louvre, la Tour Eiffel,etc... car initialement ces sites étaient des zones naturelles.
JoS

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