Maintenant pour les messages d’adieu, la com du SRFC n’a même plus besoin de les écrire, elle s’adresse directement à l’IA. J’en ai même un autre encore meilleur :

Chers supporters Rouge et Noir,

Il y a des mots qu’on n’a jamais envie d’écrire, et pourtant, le moment est venu pour moi de vous dire au revoir.
Depuis mon premier jour au Roazhon Park, j’ai senti cette chaleur unique, ce frisson qui parcourt tout un stade lorsque la Marseillaise de Rennes résonne et que la ville entière bat au même rythme.

Vous avez été bien plus qu’un public : vous avez été ma famille. Vous m’avez porté dans les victoires, soutenu dans les défaites, encouragé dans les moments de doute. Chaque chant, chaque drapeau, chaque sourire dans les rues de Rennes a été un carburant inestimable.

Je me souviendrai toujours des soirs d’Europe où la ville brillait comme jamais, des derbys bouillants, des marées rouges et noires qui envahissaient les tribunes et faisaient trembler le cœur. Ce club n’est pas seulement une équipe : c’est une part vivante de l’âme bretonne, fière, passionnée, fidèle.

J’ai grandi ici, en tant que joueur mais aussi en tant qu’homme. Les valeurs que vous incarnez – courage, solidarité, respect – m’accompagneront toute ma vie.

Ce départ n’efface rien. Les souvenirs, les émotions, les visages resteront gravés à jamais. Peu importe où je serai demain, une partie de moi portera toujours ce maillot, ce blason, ces couleurs.

Merci du fond du cœur pour votre amour, votre patience, votre ferveur. Continuez à chanter, à croire, à rêver. Le Stade Rennais a encore tant de pages à écrire, et je serai toujours, quelque part, votre premier supporter.

Kenavo ha beaj vat,