
Pour la 12e journée de Ligue 1, le Stade rennais se déplace sur le terrain du Paris FC.
Le rebond a eu lieu pour le Stade rennais. Dimanche, face à Strasbourg, les Rouge et Noir ont relevé la tête pour aller chercher une victoire probante, face à une grosse équipe du championnat. Ce vendredi, le SRFC affronte le Paris FC.
Cette rencontre sera arbitrée par Guillaume Paradis, assisté de Nicolas Durant et Thomas Luczynski. Pierre Retail évoluera en tant que 4e arbitre, tandis que Julien Schmitt et un autre arbitre encore à désigner seront à la vidéo.
usul
5 novembre à 09h30Surtout que l’arbitre sera équipé d’une camera , mais il manquera encore le son :(
CondateFan
5 novembre à 09h43Quoi de plus normal pour un enfant de la balle.
Vanessa doit être très fière.
Guyluxe
5 novembre à 21h34En cas de victoire dans ce choc mano à mano de myardaire comme dirait l autre, preferons les paroles des auteurs compositeurs reconnus plutôt que celle des interprètes de seconde division. Avec un tel arbitre, Paradis et nos résultats poussifs, la chansonnette s impose ! Brassens !! Un p’tit coin d’parapluie contre un coin d’paradis je ne perdais pas au change Pardi. Mais, qu’importe le résultat et pour rester sur du Brassens notre condate sortira son Paratonnerre magique dès le prochain match. Notre moi je Delonesque qui en plus se permet maintenant de reciter ses posts pour se (re)(re)(re) donner une credibilite qu’il n’a finalement jamais eu, dernier exemple de notre triste sire Condate quand Lepaul met son triplé une fois le match terminé bien sûr... Avant c était Lepaul emploi, lepaul boulanger... Harder par ci... Alors notre petit marchand de paratonerre ces vers sont pour ton nombril.
En m’donnant rendez-vous les jours d’intempérie
Rendez-vous au prochain orage
A partir de ce jour j’n’ai plus baissé les yeux
J’ai consacré mon temps à contempler les cieux
A regarder passer les nues
A guetter les stratus, à lorgner les nimbus
A faire les yeux doux aux moindres cumulus
Mais elle n’est pas revenue
Son bonhomm’ de mari avait tant fait d’affair’s
Tant vendu ce soir-là de petits bouts de fer
Qu’il était dev’nu millionnaire
Et l’avait emmenée vers des cieux toujours bleus
Des pays imbécil’s où jamais il ne pleut
Où l’on ne sait rien du tonnerre !
Kenavo !
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