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L’histoire du Stade Rennais
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La victoire en Coupe de France en 1965
La victoire en Coupe de France en 1971
Le match contre la Juventus Turin en 1999
La victoire en Coupe Gambardella en 2003
La victoire en Coupe Gambardella en 2008

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1er janvier 2005
Jean-François Prigent

Présenté comme « l'enfant terrible » de son équipe par Jean Prouff, Jean-François Prigent est un joueur atypique parmi les vainqueurs de la Coupe de France 1965. Costarmoricain d'origine, il fait très tôt ses débuts avec l'équipe première du Stade rennais, dès ses dix-sept ans. Ailier droit capable d'évoluer également à gauche, Prigent montre rapidement de grandes qualités, et tape à la porte des Bleus. Après une saison 1963-1964 où son service militaire vient limiter son temps de jeu, il prend une part importante dans la victoire des Rennais en Coupe de France l'année suivante. En 1965-1966, l'émergence de Louis Floch le pousse doucement vers la sortie : après un prêt de six mois à Rouen, il ne joue qu'épisodiquement en 1966-1967, pour sa dernière saison rennaise. En 1967, Prigent est transféré à Angoulême, dans la foulée d'un large renouvellement de l'effectif. Il aide le club charentais à monter dans l'élite dès sa première saison. Un passage après lequel il va cependant mettre un terme à sa carrière professionnelle. Jean-François Prigent meurt en septembre 2009, à l'âge de 65 ans.

1er janvier 2005
Franck Barthélémy

Formé à l'INF Vichy, Franck Barthélémy est recruté en 1985 par un Stade rennais qui vient tout juste de remonter en Division 1. Ce joueur originaire du Jura ne réussira jamais à percer en Bretagne, cumulant sept apparitions en deux ans, mais aucune titularisation. En 1987, il fait partie de l'énorme charrette de joueurs qui quittent le club suite à la relégation en D2. Il continue alors sa carrière en deuxième division, et trouve une place de titulaire sous les couleurs de Gueugnon. Il reste six saisons de rang, jusqu'en 1993, date à laquelle il rejoint Amiens en National. Avec le club picard, il obtient une montée en D2, puis met un terme à sa carrière professionnelle en 1995 en rejoignant Roanne.

1er janvier 2005
Damien Perquis

Briochin de naissance, Damien Perquis - à ne pas confondre avec son homonyme défenseur - a grandi à Rennes, où s'est installée sa famille. Après avoir débuté au CPB, il est répéré par le Stade rennais, dont il intègre le centre de formation en 2000. Barré dans les cages par les portiers des générations précédentes, Florent Chaigneau et Simon Pouplin, il n'est pas conservé et quitte le club en 2004. Il rejoint alors Brest, et prend le rôle de numéro 3, mais ne joue qu'avec la réserve durant trois saisons. En 2007-2008, enfin, il enfile les gants d'un titulaire, mais avec Beauvais en National. Ses prestations convainquent néanmoins le Stade Malherbe de Caen de l'enrôler. D'abord numéro 3 derrière Vincent Planté et Alexis Thébaux, il monte petit à petit dans la hiérarchie, jusqu'à devenir titulaire en L2 après le départ du second à l'été 2012. Deux ans plus tard, néanmoins, il retrouve le statut de doublure après l'arrivée en Basse-Normandie de Rémy Vercoutre. Du coup, il choisit de quitter Caen pour Valenciennes en juillet 2015.

1er janvier 2005
Maxime Monnier

Gardien de but passé par le centre de formation après avoir joué sous les couleurs du CPB Bréquigny, Maxime Monnier n'aura pas réussi durant sa formation à franchir le pas qui le séparait d'une place régulière de titulaire en réserve. Devancé dans la hiérarchie des gardiens par Benjamin Levacher, il quitte le Stade rennais en juin 2007. Le Rennais de naissance rejoint alors le Finistère, et évolue durant trois saisons avec la réserve du Stade brestois. Une expérience qui le conduit ensuite à intégrer les rangs de Plabennec. Petit à petit, il y fait son trou, jusqu'à devenir titulaire en CFA de 2011 à 2013. Relégué sur le banc, il rejoint Fougères en 2014. Un club qu'il quitte une saison plus tard, après avoir obtenu la montée en CFA2, pour retourner au CPB.

1er janvier 2005
Édouard Cissé

Formé à Pau, sa ville natale, Édouard Cissé passe professionnel en 1997 avec le Paris Saint-Germain. Il dispute une poignée de matchs pour sa première saison, puis est prêté en 1998-1999 au Stade rennais pour gagner en temps de jeu. Bonne surprise de l'équipe mise en place par Paul Le Guen, il gagne sa place de titulaire au milieu de terrain, et convainc le PSG de lui faire une place la saison suivante. Son parcours dans la capitale connaît des hauts et des bas pendant dix années, entrecoupées de deux autres prêts. En 2003-2004, il fait ainsi le bonheur de l'AS Monaco et contribue à l'épopée des Monégasques jusqu'en finale de Ligue des champions. Après un exil de deux ans à Besiktas, il revient en France en 2009 pour signer à l'Olympique de Marseille. À 32 ans, il y remporte son premier titre de champion de France, et reste deux saisons sur la Canebière. En 2012, après une dernière pige à Auxerre, Cissé met un terme à sa carrière.

1er janvier 2005
Philippe Terrier

Originaire de Besançon dans le Doubs, Philippe Terrier démarre sa carrière chez les « Lionceaux » du FC Sochaux-Montbéliard, et évolue durant trois saisons au sein de l'équipe première entre 1968 et 1971. Durant cette période, il n'est pas un titulaire à part entière de l'équipe sochalienne, si bien qu'il ne dispute qu'une soixantaine de rencontres en D1 pour un total de seize réalisations. L'attaquant doubien donne son accord au Stade rennais UC à l'aube du début de l'exercice 1971-1972, et dans la foulée remporte le Challenge des champions, ancêtre de l'actuel Trophée des champions. Il participe également quelques semaines plus tard aux deux matches disputés contre les Écossais des Glasgow Rangers, dans le cadre du premier tour de la Coupe d'Europe des vainqueurs de coupe (1-1 à Rennes, puis 0-1 à Glasgow). En championnat, il foule les pelouses de première division à vingt-sept reprises et marque six buts. Le club breton décide cependant de ne pas le conserver dans ses rangs à l'issue de la saison, et c'est ainsi que Philippe Terrier rejoint Dunkerque après une seule année passée en Bretagne. Dans le Nord, Terrier retrouve son efficacité et inscrit 14 buts lors du championnat de D2 en 1972-1973, mais ne trouve le chemin des filets qu'à deux reprises la saison suivante. Il joue ensuite pendant trois années à Toulouse, alors en deuxième division, puis ne fait qu'un bref passage en Normandie lors de la saison 1977-1978, où il ne dispute que huit matches de première division avec les « Diables Rouges » du FC Rouen. Terrier termine finalement sa carrière en seconde division à Dunkerque, puis à l'US Tavaux-Damparis, avant de raccrocher définitivement les crampons en 1980. Au total, Philippe Terrier aura disputé 97 matches en D1 et marqué 22 buts.

1er janvier 2005
Amadou Coulibaly

Arrivé à Rennes lors de l'été 2005, à la suite d'un essai, Amadou Coulibaly a rapidement dû subir une longue absence sur blessure qui le condamna à une première saison quasiment blanche. Cet athlétique latéral droit essaya par la suite d'obtenir sa chance au sein de l'équipe première... lorsqu'il n'était pas de nouveau blessé. Il n'aura disputé aucun match officiel avec l'effectif professionnel du Stade rennais, se contentant de la réserve. Laissé libre en 2007, il tente une expérience - infructueuse - à Grenoble, la saison suivante, puis quitte la France pour la Slovaquie puis la Belgique. En janvier 2012, il revient en France, dans un club amateur de CFA2.

1er janvier 2005
Mickaël Buzaré

Finistérien d'origine, Mickaël Buzaré signe professionnel au Stade rennais en 1996. Il reste deux saisons à Rennes, mais ne joue aucun match de Division 1, et doit se contenter des rencontres avec la réserve en CFA. En 1998, le Stade lavallois le recrute. C'est le début d'une longue histoire d'amour entre Buzaré et les « Tangos ». Il réalise le reste de sa carrière professionnelle en Mayenne, disputant au total douze saisons sous le maillot lavallois, en Ligue 2 et en National. Il met un terme à sa carrière professionnelle en mai 2010, et se reconvertit dans le marketing sportif.

1er janvier 2005
Allan Johnston

À l'été 1996, le Stade rennais recrute deux joueurs écossais. L'attaquant Allan Johnston arrive en provenance de Heart of Midlothian, où il a débuté sa carrière professionnelle. Johnston, comme son coéquipier Smith, repartiront un an plus tard. Entretemps, il aura disputé une vingtaine de matchs et marqué deux buts. Rejoignant Sunderland en 1997, il s'y fait une place au soleil, et parvient à intégrer l'équipe d'Écosse quelques mois plus tard. Pendant sept ans, il écume les clubs de première et deuxième division anglaise, avec un petit intermède d'une saison avec les Glasgow Rangers, qui ne remportent aucun titre cette année-là. En 2004, il rentre définitivement en Écosse, passant plusieurs saisons à Kilmarnock, puis à St. Mirren. En juin 2010, il rejoint le Queen of the South, un club de la ville de Dumfries, en D2 écossaise, dont il devient entraîneur-joueur en 2011, après une relégation. Trois ans plus tard, il mène son équipe au titre et lui obtient la remontée en D2. Mettant un terme à sa carrière de joueur à 39 ans, il quitte Dumfries et devient l'entraîneur de Kilmarnock, en Scottish Premier League. En désaccord avec ses dirigeants sur un transfert de joueur, il est limogé en février 2015, puis est nommé quelques mois plus tard à la tête de Dunfermline.

1er janvier 2005
Daniel Solsona

Né dans la banlieue ouest de Barcelone, Daniel Solsona débute à l'Espanyol, qui deviendra le club de sa vie. El Noi (le gamin) de Cornellà débute chez les professionnels à 18 ans et devient vite la coqueluche du public catalan. Meneur de jeu talentueux balle au pied, il fait partie de l'une des meilleures équipes de l'histoire de l'Espanyol, et y gagne ses galons d'international, même s'il est recalé par deux fois lorsque la Selección dispute la Coupe du monde en 1978 et 1982. En 1978 justement, il quitte l'Espanyol pour Valence, alors que le FC Barcelone lui faisait les yeux doux. Là-bas, avec le club ché, il gagne une Coupe du Roi, mais aussi et surtout une Coupe d'Europe des vainqueurs de coupe et la Supercoupe d'Europe. En 1983, alors qu'une fin de cycle laborieuse touche Valence, Solsona décide de profiter de la fin de son contrat pour s'exiler et rejoindre Bastia. Mais alors que sa fin de carrière s'annonce, le joueur catalan est en déclin et est surtout régulièrement sujet aux blessures. Après deux ans et demi en Corse, il passe six mois au RC Paris, puis s'engage à l'été 1986 avec le Stade rennais. En Bretagne, son engagement ressemble un peu à un dernier gros challenge, à l'âge de 34 ans. Solsona ne brille pas vraiment, et quitte le club un an après son arrivée, alors que le Stade rennais retourne en Division 2. L'international espagnol rentre lui en Catalogne, et termine sa carrière de joueur dans le modeste club de Sant Andreu, qui navigue entre la D4 et la D3 locale. En 1990, il entame sa reconversion en devenant directeur sportif de l'Espanyol, poste qu'il occupe durant trois ans. En effet, l'élection d'un nouveau président vient mettre un terme à ses fonctions en 1993. Solsona se dirige alors vers le métier d'entraîneur auprès des jeunes et d'équipes de niveau amateur. Abandonnant cette voie au début des années 2000, il devient consultant auprès des médias, aussi bien dans la presse sportive que pour la télévision.