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L’histoire du Stade Rennais
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Historique du Stade Rennais en Championnat
Historique du Stade Rennais en Coupe de France
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La victoire en Coupe de France en 1965
La victoire en Coupe de France en 1971
Le match contre la Juventus Turin en 1999
La victoire en Coupe Gambardella en 2003
La victoire en Coupe Gambardella en 2008

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1er janvier 2005
Prince Oniangué

Tranchant dans ses interventions, bon dans la lecture du jeu et dans le jeu aérien, Prince Oniangué s'impose comme une pièce maîtresse de la réserve du Stade rennais entre 2006 et 2009. Arraché au Stade Malherbe de Caen alors qu'il est âgé de 16, « Choco » (comme le surnomment ses coéquipiers) s'impose vite comme un leader de la génération 1988. En CFA, sous les ordres de Landry Chauvin puis de Laurent Huard, son association avec Bira Dembélé fait merveille en défense centrale. Promu dans l'effectif professionnel, après avoir signé son premier contrat pro en 2008, Oniangué tarde pourtant à s'y installer totalement, étant peu utilisé par Guy Lacombe et se heurtant à une forte concurrence alors qu'il souhaite évoluer au milieu de terrain, son poste d'origine. Désirant gagner en temps de jeu, il est prêté avec succès à Angers lors de la saison 2009-2010, mais à son retour, Frédéric Antonetti ne compte pas sur lui, et il est finalement transféré en août 2010 à Tours, en Ligue 2. En Touraine, il s'impose comme l'un des meilleurs milieux défensifs de L2, mais doit patienter longtemps avant de quitter le TFC pour l'étage supérieur. Ce n'est qu'en 2013, trois ans après son arrivée, qu'il rejoint le Stade de Reims et retrouve la L1. Devenu titulaire à ce niveau durant trois saisons avec le club rémois, il se forge une belle réputation, mais son expérience en Champagne se clôt sur une relégation en 2016. Oniangué quitte alors l'hexagone pour tenter l'expérience anglaise, avec Wolverhampton. Mais en manque de temps de jeu, il est prêté six mois plus tard à Bastia.

1er janvier 2005
Victor Mosa

Fils d'immigrés italiens, Victor Mosa démarre sa carrière de footballeur à l'US Marignane, avant de prendre la direction de l'AS Aixoise en 1963. Il joue ainsi durant trois saisons en seconde division avec l'équipe d'Aix-en-Provence, club qui se stabilise à l'époque, tant bien que mal, au deuxième échelon hexagonal. Fort de sa première expérience réussie du haut niveau, il pose ses valises en Bretagne à l'aube de l'exercice 1967-1968. Défenseur de métier, Jean Prouff n'hésite pourtant pas à le faire jouer en tant que milieu récupérateur lorsque cela est nécessaire. Il évolue finalement durant quatre saisons sous la tunique rouge et noire entre 1967 et 1970, et dispute un total de quatre-vingt trois matches avec l'équipe fanion pour seize buts inscrits. Le latéral droit franco-italien prend ensuite le chemin du SEC Bastia, où il est finaliste de la Coupe de France en 1972 (défaite face à l'Olympique de Marseille, sur le score de deux buts à un). Dans la foulée, il dispute deux matches de Coupe d'Europe des vainqueurs de coupe face à l'Atlético de Madrid (0-1 à Ajaccio, puis 1-1 à Madrid) lors de l'exercice 1972-1973, avant de terminer son honnête carrière dans une autre équipe corse qui joue alors en deuxième division, l’AC Ajaccio. Mosa prend finalement sa retraite sportive à l'issue de la saison 1974-1975, et s'installe à Marignane dans les Bouches-du-Rhône, tout en se ressourçant régulièrement à Tiuccia en Corse. C'est là-bas qu'il est victime d'une embolie pulmonaire le 9 janvier 2009. Décédé à l'âge de 63 ans, Victor Mosa reste l'une des figures de proue du football marignanais.

1er janvier 2005
Jérôme Lebouc

Jérôme Lebouc est formé au Stade rennais après avoir débuté le football sous les couleurs de l'AS Vitré, sa ville natale. Non conservé en 2001, il revient alors à l'ASV puis, après un court détour à Pontivy, rejoint Marmande et le Sud-Ouest de la France. Repéré par le Pau FC, il fait ses débuts en National avec le club palois. Un championnat qu'il va écumer durant de nombreuses années, passant successivement sous les couleurs de Valenciennes, Croix-de-Savoie (où il n'est pas autorisé à jouer, la DNCG refusant d'homologuer son contrat pour raisons financières), puis Vannes. Avec Valenciennes, il connaît la joie d'un titre de champion, mais n'est pas conservé par Antoine Kombouaré pour jouer la saison suivante en L2. À Vannes, où il reste trois ans, il connaît enfin cette joie, après un deuxième titre de champion acquis en 2008. Cerise sur le gâteau, la saison suivante est ponctuée d'un étonnant parcours en Coupe de la Ligue, conclu sur une finale perdue contre Bordeaux. Malgré cela, il s'inscrit dans la continuité en L2 puisqu'il rejoint le Stade lavallois, dont il est l'un des titulaires de 2009 à 2013. En fin de contrat en Mayenne, il retrouve les rangs amateurs en retournant à Marmande en août 2013. En parallèle, il devient éducateur au sein du club lot-et-garonnais.

1er janvier 2005
Alain Pécout

Recruté au RC Paris, Alain Pécout dispute six matchs avec l'équipe première du Stade rennais, au milieu des années 1950. Cet ailier évolue aussi bien à gauche qu'à droite, et marque même un but, en novembre 1953 à l'occasion d'un match face à Sedan. Concurrencé par Alphonse Le Gall ou Henri Baillot, il ne s'impose pas. Après avoir joué la première journée de championnat en 1954-1955, il quitte le club pour l'US Le Mans.

1er janvier 2005
Benjamin Moukandjo

Présenté (à tort ?) comme un futur grand attaquant, Benjamin Moukandjo n'a jamais confirmé les espoirs placés en lui en Bretagne. Arrivé en juillet 2007 au Stade rennais, il voit sa première saison gâchée par des blessures, et ne s'impose jamais en CFA. Prêté pour 2008-2009 en National, il tente à Sannois-Saint-Gratien de gagner en confiance et en temps de jeu. Après une expérience mitigée, il est laissé libre par le Stade rennais, et signe à Nîmes, en Ligue 2. Dans le Sud, il se révèle sous les couleurs nîmoises. Recruté après une saison et demie par l'AS Monaco, il découvre enfin la Ligue 1, mais cette expérience se conclut par une relégation. Moukandjo quitte alors la Principauté pour Nancy, mais là encore, c'est une descente en L2 qui clôt sa première année en Lorraine. Après trois saisons à l'ASNL, il signe au Stade de Reims, puis retrouve la Bretagne un an plus tard en signant à Lorient.

1er janvier 2005
Georges Jazdzyk

Passé par la TA Rennes, Georges Jazdzyk intègre la section amateur du Stade rennais au début des années 1960. Ce défenseur doit attendre la fin de la saison 1965-1966 pour faire ses débuts en équipe première, titularisé par Jean Prouff lors de trois des quatre dernières journées de championnat. La saison suivante, il fait son trou avec les pros, profitant des absences ponctuelles de Boutet et des replacements réguliers de Cédolin au milieu pour jouer de nombreux matchs en défense centrale. Une promotion qui se confirme en 1967-1968, alors que Boutet a quitté le club pour Lorient. Parfois utilisé à droite, avant l'éclosion d'Alain Cosnard, Jazdzyk est le plus souvent associé à Cédolin, et ce durant trois saisons. En 1970, il quitte finalement le club pour être remplacé par Zygmunt Chlosta. Jazdzyk prend alors la direction de Montluçon, qui évolue en deuxième division. Il y devient un élément majeur, et est même promu entraîneur-joueur durant un an et demi.

1er janvier 2005
César

Défenseur central, Augusto César Belli Michelon - plus simplement surnommé César - se révèle au Brésil sous les couleurs de Portuguesa. Il intègre alors la Seleção et est finaliste de la Copa América en 1999. Cette même année, il fait le grand saut vers l'Europe et signe au Paris Saint-Germain. Dans la capitale, il ne fait pas d'étincelles et ne dispute qu'une dizaine de matchs en un an. En pleine fièvre sud-américaine, le Stade rennais le recrute lors de l'été 2000, pour plus de 5 millions d'euros. S'il est la plupart du temps titulaire pour sa première saison, César n'a pas le rendement escompté. En 2001-2002, il n'entre pas dans les plans du nouvel entraîneur rennais Christian Gourcuff, et quitte la Bretagne pour retourner au Brésil en janvier 2002. César écume alors les clubs du championnat brésilien, avec un intermède de deux ans en Espagne, à Tenerife. Il prend sa retraite sportive début 2010.

1er janvier 2005
Lindsay Rose

Né d'un père mauricien et d'une mère française, Lindsay Rose grandit dans les quartiers sud de Rennes. Après des débuts au CPB Blosne, il intègre l'école de foot du Stade rennais en 2000, à huit ans. Il évolue sous les couleurs rouges et noires jusqu'en 2008, date à laquelle il fait ses valises pour la Mayenne. Avec le Stade lavallois, son ascension est rapide, au point de faire ses débuts en Ligue 2 dès avril 2010. Passé professionnel deux mois plus tard, il devient l'un des plus solides espoirs du club mayennais. Courtisé par plusieurs clubs de L1, il finit par signer à Valenciennes en janvier 2013, et s'affirme comme l'un des meilleurs joueurs du club nordiste. Lorsque celui-ci est relégué en L2, à l'été 2014, Lindsay Rose rejoint l'Olympique lyonnais. En situation d'échec dans le Rhône, après une première saison médiocre (15 matchs joués), Lindsay Rose finit par être prêté au FC Lorient fin janvier 2016. Quelques mois plus tard, il est transféré définitivement dans le Morbihan, mais dans un club en difficulté sportivement, son temps de jeu se réduit rapidement. Si bien qu'il est prêté à Bastia en janvier 2017.

1er janvier 2005
Guy David

Joueur de niveau modeste, Guy David franchit rapidement les étapes qui le mènent vers une meilleure carrière comme entraîneur. Provençal d'origine, il mène son club de Saint-Raphaël en D3 après plusieurs montées successives, puis fait de même avec l'ES Fréjus. En 1987, il fait à Toulon le premier pas vers le monde professionnel. D'abord entraîneur-adjoint, il devient entraîneur principal lors de la saison 1992-1993. Après une année en D2 à Beauvais, il continue de faire ses preuves au Havre, dans l'élite, puis à Caen. Alors qu'il n'a pas réussi à sauver le club bas-normand d'une descente, il est nommé entraîneur du Stade rennais pour la saison 1997-1998. Celle-ci sera difficile, mais le club parviendra à se sauver lors de l'ultime journée de championnat. Il s'agira pourtant de son dernier match dirigé en D1. La suite de sa carrière le mène à Nice, à Sion (Suisse), mais aussi à un éphémère poste de directeur sportif du Stade Malherbe de Caen. Retourné chez lui en 2007, à Fréjus, il succombe à un malaise cardiaque le 30 août 2008, à 61 ans seulement.

1er janvier 2005
Jimmy Nirlo

Passé par Bourg-Péronnas, Valence et Jura Sud, Jimmy Nirlo intègre le Stade rennais en 2006, à l'âge de 17 ans, pour y réaliser tardivement sa formation. Milieu défensif très physique, il progresse de façon régulière et sérieuse, attendant patiemment son heure en équipe réserve, avec laquelle il multiplie les titularisations. Sacré champion de France des réserves professionnelles en 2007, il signe finalement son premier contrat pro un an plus tard. Une promotion en forme de leurre, car Nirlo ne parviendra jamais à s'approcher réellement du groupe pro, Guy Lacombe ne comptant pas sur lui. Six mois plus tard, il est libéré de son contrat et s'engage en deuxième division grecque, pour une expérience qui se révèle être un échec. Nirlo revient alors en France, et met ses qualités au service de plusieurs clubs de National, jouant successivement à Pacy-sur-Eure, Créteil, Bourg-Péronnas, puis Le Poiré-sur-Vie. De retour au sein du club bressan en 2013, il parvient à obtenir la montée, et fait ses débuts en Ligue 2 à l'été 2015.