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La victoire en Coupe Gambardella en 2003
La victoire en Coupe Gambardella en 2008

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1er janvier 2005
Foued Kadir

Bien connu de Philippe Montanier, qui l'avait fait venir en 2009 à Valenciennes, Foued Kadir est prêté avec option d'achat au Stade rennais pour la saison 2013-2014. Auparavant, ce Franco-Algérien avait connu un parcours atypique, puisqu'il a mis de longues années avant d'atteindre le haut niveau. Après avoir joué à Martigues, Gignac, Beaucaire et avec la réserve de Troyes, il s'impose comme l'un des meilleurs joueurs de National, puis de Ligue 2, avec Cannes et Amiens. Il découvre ainsi la Ligue 1 en 2009, à près de 26 ans, et démontre ses qualités techniques avec Valenciennes durant trois saisons et demie. Recruté par Marseille début janvier 2013, il ne parvient pas à s'imposer sur la Canebière. Loué pour ses qualités humaines par Michel Troin, son prêt au Stade rennais ne lui permet pas de se relancer. Après s'être brouillé avec une partie des supporters rennais après la défaite en finale de Coupe de France 2014, l'option d'achat de son prêt n'est pas levée. Kadir retourne alors à l'OM la saison suivante, puis est de nouveau prêté, cette fois au Betis Séville, avec qui il monte en Liga puis où il est définitivement transféré un an plus tard. Dans l'élite espagnole, Kadir ne s'illustre pas, et finit par redescendre à l'étage inférieur en août 2016. Il s'engage d'abord avec Getafe, mais résilie son contrat quelques mois plus tard pour rejoindre Alcorcón.

1er janvier 2005
Bruno Cheyrou

Recruté à l'été 2006, Bruno Cheyrou est loin de faire l'unanimité à ses débuts à Rennes. Mais après un début de saison difficile, il s'impose comme l'un des leaders du milieu de terrain. Gaucher très technique, il préfère évoluer dans l'axe, que ce soit devant les défenseurs ou juste derrière les attaquants. L'ancien liverpuldien a cependant connu une deuxième saison très difficile, et fut même aligné en défense centrale par Guy Lacombe, pour un résultat peu probant. Relancé en début de saison 2008-2009, même s'il n'est pas toujours titulaire, il redevient l'un des hommes de base du collectif rennais. En manque de temps de jeu cependant, il rejoint l'Anorthosis Famagouste et le championnat chypriote lors du mercato hivernal 2010. De retour en France six mois après, il boucle sa carrière sous les couleurs du FC Nantes, où il joue durant une saison et demie en Ligue 2. Sur les bords de l'Erdre, il entame même sa reconversion en tant que conseiller de Waldemar Kita en matière de recrutement, mais l'aventure tourne court. Quelques mois plus tard, il quitte le FC Nantes pour se consacrer à une formation de manager général, et devient également consultant télé.

1er janvier 2005
Philippe Brinquin

Philippe Brinquin fait partie de ces joueurs qui ne sont pas passés par un centre de formation, mais qui ont peu à peu franchi les échelons. Avec Lorient, il passe ainsi du National aux portes de la D1, que les Merlus atteindront sans lui. En 1997, il est en effet recruté par le Stade rennais. Arrière droit de devoir, il est titulaire durant sa première saison avec les « Rouge et Noir », mais subit ensuite l'émergence du jeune Anthony Réveillère. En panne de temps de jeu en 1999-2000, il est transféré pendant l'hiver au Havre, où il ne fait pourtant que de maigres apparitions. Après une dernière expérience en Écosse, il prend sa retraite sportive et se reconvertit dans le domaine de l'immobilier.

1er janvier 2005
Yoann Gourcuff

Après avoir longtemps évolué dans les équipes de jeunes du FC Lorient, puis fréquenté le centre de préformation de Ploufragan où il côtoie Sylvain Marveaux et Romain Danzé, Yoann Gourcuff arrive au centre de formation du Stade rennais en 2001, dans les bagages de son père Christian. Malgré le licenciement de celui-ci en 2002, Yoann y poursuit sa formation et se fraye rapidement un chemin vers le monde professionnel. Vainqueur très jeune de la Coupe Gambardella, il signe quelques mois plus tard un premier contrat pro et fait ses débuts en équipe première sous les ordres de Laszlo Bölöni. Après avoir progressivement gagné en temps de jeu, il explose durant la saison 2005-2006, lors de laquelle il se révèle aux yeux de la Ligue 1. Malheureusement, pour diverses raisons, il décide de ne pas prolonger son contrat, et est transféré à l'été 2006 au Milan AC, le club référence de son père. En Italie, Gourcuff éprouve longtemps des difficultés à s'imposer au sein d'un effectif pléthorique, malgré des débuts prometteurs. (Trop) vite comparé à Zidane par la presse transalpine, il doit attendre un prêt salvateur à Bordeaux pour retourner dans la lumière. Élu meilleur joueur de Ligue 1 en 2008-2009, sacré champion de France, il fait également son trou en équipe de France, et devient l'une des figures les plus reconnues du football français. Depuis début 2010, la suite de sa carrière est en revanche décevante. Son passage à Bordeaux se termine en eau de boudin, et son transfert à Lyon fait grand bruit. Dans le Rhône, comme en équipe de France, Gourcuff ne parvient pas à confirmer son statut, empêtré dans une longue série de blessures qui plombent sa carrière durant cinq saisons et l'éloigne durablement des Bleus. En fin de contrat à Lyon à l'été 2015, Yoann Gourcuff finit par choisir de revenir dans les rangs de son club formateur, après un cour assidue de René Ruello durant plusieurs mois. Un feuilleton qui prend fin le 14 septembre 2015, lorsque le joueur signe un protocole d'accord avec le Stade rennais. Un mois et demi plus tard, le joueur signe un contrat d'un an en faveur des Rouge et noir, mais ne fait son retour à la compétition qu'en janvier. Après six mois mitigés, et alors que son père redevient entraîneur du Stade rennais, le milieu de terrain prolonge de deux ans son contrat. S'il est titularisé 27 fois en Ligue 1 lors de la saison 2016-2017 (pour 4 buts marqués et 3 passes décisives), il ne dispute que 10 rencontres lors de la suivante (dont 5 titularisations), au cours de laquelle son père est remplacé au poste d'entraîneur par Sabri Lamouchi. Son contrat avec Rennes n'est pas prolongé par le club breton, et il s'engage alors pour un an avec Dijon.

1er janvier 2005
Christophe Revault

Formé à l'école des gardiens du Havre, Christophe Revault s'impose très vite comme l'un des meilleurs espoirs français à son poste. En 1997, après avoir brillé avec les pros au HAC, il décide de sauter le pas et de succéder à Bernard Lama dans les cages du Paris Saint-Germain. Mais son expérience dans la capitale se passe mal, marquée par des performances décevantes. Pressenti pour faire partie du groupe France pour la Coupe du monde 1998, Revault n'est finalement pas retenu par Aimé Jacquet. Une saison après son arrivée au PSG, le club parisien décide de faire revenir Lama. Revault suit alors Paul Le Guen, qui vient de terminer sa carrière de joueur et d'être nommé entraîneur du Stade rennais. Après d'excellents débuts, l'ancien havrais a la malchance de se blesser gravement en fin de saison 1998-1999. Il ne revient comme titulaire qu'en cours de saison suivante. Après deux saisons en Bretagne, Revault est transféré à Toulouse à l'été 2000. Relégué sportivement en D2 un an plus tard, le club violet est rétrogradé en National par la DNCG. Pire, Revault est marqué dans sa chair par la catastrophe d'AZF en septembre 2001. Malgré tout, il reste au Téfécé pour encadrer une jeune génération, qui parvient à faire remonter le club en L1 en l'espace de deux saisons. Christophe Revault redevient alors titulaire dans l'élite durant deux saisons et demie, mais finit par voir émerger la concurrence de Nicolas Douchez, qui accède au statut de numéro 1. En août 2006, il accepte finalement de quitter Toulouse pour retourner à Rennes. Andreas Isaksson parti, Simon Pouplin est promu titulaire. Christophe Revault est engagé avec le statut de doublure, chargé d'apporter son expérience au jeune portier. Durant la saison 2006-2007, il ne dispute ainsi qu'une seule rencontre avec les pros, en Coupe de France contre Romorantin, et cinq matchs de CFA. Finalement lassé de ne pas jouer, il quitte définitivement la Bretagne dès l'été 2007. Il retourne alors au Havre pour y terminer sa carrière et y prendre sa retraite trois ans plus tard, à l'âge de 38 ans. En mai 2012, après avoir passé ses diplômes de management, il devient conseiller auprès du président du club havrais. Quelques mois plus tard, cette reconversion se poursuit, puisqu'il devient le temps d'un mois l'entraîneur du club haut-normand, en novembre 2012, avant de reprendre ses activités initiales.

1er janvier 2005
Emerson Passos

Le « pari sportif », annoncé à son arrivée par Frédéric de Saint-Sernin en 2007 fut un fiasco. Buteur brésilien inconnu en Europe, Emerson écume au début de sa carrière les championnats japonais et qataris en alignant une série impressionnante de buts. À 28 ans, il débarque en France, pour tenter de se faire un nom dans un club où les Brésiliens n'ont jamais vraiment réussi. Dans un effectif déjà bien fourni en attaque, auquel il ne s'intègre pas vraiment, il ne réussit pas à s'imposer, et n'aura jamais vraiment la possibilité de le faire. Lassé d'attendre sa chance, il repart au Qatar quatre mois seulement après son arrivée et six bouts de matches disputés. Entouré d'une réputation sulfureuse, soupçonné d'avoir falsifié son passeport, et au centre d'un imbroglio au sujet d'un bref passage sous les couleurs de l'équipe nationale du Qatar, Emerson finit par connaître la gloire en retournant au Brésil. Désormais surnommé « Emerson Sheik », il remporte le championnat brésilien trois années de rang avec trois clubs différents, puis la Copa Libertadores et la Coupe du monde des clubs.

1er janvier 2005
Vincent Le Boulaire

Capable de jouer à la fois au poste de milieu défensif et en charnière centrale, Vincent Le Boulaire intègre le centre de formation du Stade rennais en juin 2006. Sa polyvalence le sert à l'heure de signer son contrat stagiaire en juin 2009, mais le jeune breton a ensuite des difficultés à s'imposer en CFA. Longtemps perturbé par des blessures, le Vannetais ne parviendra jamais à s'imposer au sein de la réserve du Stade rennais, ne cumulant qu'une petite vingtaine de matchs en deux ans. Il n'est pas conservé à l'issue de son contrat stagiaire en 2011, et rejoint l'US Montagnarde puis Locminé en CFA2, avant de passer à l'étage supérieur en signant à Pontivy.

1er janvier 2005
Guillaume Heinry

Défenseur faisant partie de la génération qui remporte la Coupe Gambardella 2008, l'avenir de Guillaume Heinry au Stade rennais était relativement bouché. En septembre 2008, plutôt que passer une année de plus à jouer les utilités en équipe réserve ou avec l'équipe C, il décide de quitter le club et de s'engager avec La Vitréenne évoluant en CFA. Pendant trois ans, Heinry devient une pièce maîtresse de l'organisation vitréenne, une valeur sûre au poste de milieu récupérateur. En juin 2011, il quitte finalement l'Ille-et-Vilaine pour s'engager à Compiègne, puis poursuit un an plus tard en Picardie en signant à Beauvais, toujours en CFA. En 2014, Heinry monte d'un niveau en signant à Chambly, et s'épanouit en championnat National. Après y avoir fait ses preuves, il est recruté par Bourg-en-Bresse pour y découvrir la Ligue 2.

1er janvier 2005
Gaëtan Février

Défenseur originaire de Saint-Malo, Gaëtan Février passe neuf saisons dans les équipes de jeunes du Stade rennais, après avoir fait ses débuts à l'âge de six ans à Paramé. Membre de l'effectif sacré champion de France des 18 ans en 2007, il ne participe pas à la victoire rennaise en Coupe Gambardella l'année suivante, privé de compétition à cause d'une grosse blessure. Après une ultime année entre CFA, avec l'équipe B et surtout en DH avec l'équipe C, il quitte le club pour l'US Saint-Malo en juin 2009. Titulaire régulier en défense, il participe à la montée en puissance du club malouin, qui obtient sa montée en CFA en 2012, et manque de peu l'accession en National. En 2016, après sept ans à l'USSM, il quitte le club et redescend à l'étage inférieur, pour s'engager avec l'AGLD Fougères.

1er janvier 2005
Jean-Claude D'Arménia

Né en Égypte, Jean-Claude D'Arménia fait ses armes au Stade Malherbe de Caen. Ce gardien de but passe professionnel à vingt-et-un an à Troyes, en deuxième division, où il fait montre de ses qualités. Le Stade rennais le repère et le recrute en 1962. Il s'installe comme numéro 1 dans les cages stadistes, au sortir d'une saison où aucun titulaire ne se dégageait réellement. Durant deux ans, D'Arménia est titulaire du poste. En 1964, finalement, le Stade rennais recrute l'international Georges Lamia. D'Arménia fait ses valises, et rejoint le prestigieux Stade de Reims. Le club champenois a cependant perdu de son lustre, et navigue entre D1 et D2. Jean-Claude D'Arménia l'accompagnera durant sept saisons dans ses allers et venues entre l'élite et l'étage inférieur, avant de mettre un terme à sa carrière professionnelle en 1971.