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La victoire en Coupe Gambardella en 2003
La victoire en Coupe Gambardella en 2008

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1er janvier 2005
René Munoz

Attaquant bourguignon, René Munoz passe professionnel au Stade rennais en 1951. Évoluant sur l'aile gauche ou sur l'aile droite, il subit la concurrence de Paul Le Dren, Alphonse Le Gall ou encore Juan Callichio. Il passe deux saisons en Bretagne sans parvenir à s'imposer, puis part en 1953 à Toulouse où il reste un an. Munoz perce finalement en Division 2 sous les couleurs d'Aix-en-Provence, puis termine sa carrière professionnelle à Grenoble. En 1958, il revient en Ille-et-Vilaine en intégrant l'US Saint-Conwoïon de Redon, dont il devient l'une des figures emblématiques, en tant qu'entraîneur-joueur. Resté à Redon par la suite, il y décède en avril 2014, à l'âge de 85 ans.

1er janvier 2005
Frédéric Piquionne

Frédéric Piquionne débute en professionnel à Nîmes, où il est rapidement repéré par le Stade rennais, qui le recrute à l'été 2001. Sa première saison en première division est prometteuse, avec neuf buts inscrits toutes compétitions confondues malgré un temps de jeu réduit. La saison 2002-2003 est celle de l'explosion. Dans un groupe en difficulté, Piquionne émerge comme une valeur montante et devient le meilleur buteur du club cette saison-là. Plein d'ambition, il affirme à l'été 2003 vouloir intégrer l'équipe de France la saison suivante... mais tombe de haut. Relégué côté droit ou sur le banc par la montée en puissance d'Alexander Frei, Piquionne se brouille avec le public et quitte le club fâché en 2004. Prêté puis transféré définitivement à Saint-Étienne, il confirme sa saison 2002-2003 en brillant avec les Verts, mais se met une nouvelle fois le public à dos par ses écarts comportementaux. De nouveau prêté puis transféré à Monaco, il intègre alors brièvement les Bleus, puis rejoint l'Olympique lyonnais où il ne s'impose pas. À l'été 2009, sa carrière prend un nouveau tournant avec un départ en Angleterre, où il porte les couleurs de Portsmouth, West Ham puis Doncaster. Avant de s'exiler aux États-Unis, à Portland, en février 2013. En août 2014, il revient en France en signant à Créteil (L2), puis après une bonne saison, Piquionne reprend son tour du monde, en rejoignant le championnat indien le temps de quelques mois. En janvier 2016, il revient en France et devient entraîneur des attaquants de l'US Créteil.

1er janvier 2005
Louis Pinat

Louis Pinat est le gardien emblématique du Stade rennais des années 1950. Né à Boulogne-sur-Mer, il grandit à Saint-Servan, puis intègre logiquement le club rouge et noir à la fin des années 1940. D'abord remplaçant de Guy Rouxel, il fait ses débuts en août 1949, peu après avoir fêté ses vingt ans, mais doit attendre la saison 1951-1952 pour s'imposer comme titulaire. Sept années durant, il est de toutes les joies (deux montées en D1) et de toutes les désillusions (deux descentes en D2) rennaises, disputant plus de 250 matchs avec les Rouge et noir. Depuis, seul Pierrick Hiard a fait mieux en terme de longévité pour un gardien de but rennais. Performant, il est même aux portes de l'équipe de France, étant retenu avec les Bleus « B ». Pinat termine son aventure rennaise en 1958, après une ultime remontée, et rejoint un FC Nantes qui n'a alors jamais connu l'élite. Après avoir passé un an chez les Canaris, il termine sa carrière de joueur avec l'US Forbach, en deuxième division, et en devient même l'entraîneur lors de sa seconde saison en Lorraine. Il exerce ensuite en Tunisie, à Hammam-Lif.

1er janvier 2005
Stéphane Wiertelak

Joueur de niveau modeste, Stéphane Wiertelak se destine très vite au métier de professeur de sport. En 1989, il rentre cependant au centre de formation du Stade rennais où il devient entraîneur. Un statut qu'il possédera pendant huit ans, jusqu'à sa nomination au poste de préparateur physique de l'équipe professionnelle par Guy David. Par la suite, Wiertelak retrouve Paul Le Guen, croisé lors de sa formation au Stade brestois, avec lequel il se lie. Parti du Stade rennais en même temps que Le Guen, Wiertelak exerce ensuite à Guingamp, repris par son ancien collègue du centre de formation rennais Bertrand Marchand. Enfin, il suit Paul Le Guen aux Glasgow Rangers puis à Paris. En juin 2011, il donne une nouvelle orientation à sa carrière en rejoignant Landry Chauvin à Nantes, un entraîneur croisé alors que les deux hommes exerçaient au centre de formation du Stade rennais. Il reste ensuite le préparateur physique du FC Nantes, malgré le départ de Landry Chauvin à l'été 2012.

1er janvier 2005
Loïc Kerbiriou

Solide défenseur, Loïc Kerbiriou joue à l'AS Brestoise avant de rejoindre Rennes en 1968. Comme beaucoup, le jeune joueur rejoint la capitale régionale pour y faire ses études supérieures. Devenant professeur d'éducation physique, il joue dans le même temps avec l'équipe amateur du Stade rennais, et fait quelques apparitions en équipe fanion durant quatre ans sous les ordres de Jean Prouff. À partir de 1972, Kerbiriou prend davantage d'importance dans l'effectif. Premier remplaçant de la paire axiale Rizzo - Goueffic en 1972-1973, il devient titulaire la saison suivante après le départ de ce dernier. Avec Alain Rizzo, Kerbiriou formera la charnière centrale de la défense rennaise durant deux saisons. En 1975, alors que le club descend en D2, il est mis au ban - comme Raymond Keruzoré - par le président Lemoux, qui le taxe de gauchisme. Kerbiriou quitte alors Rennes pour jouer avec les Cormorans de Penmarc'h, en D3, puis avec le Stade brestois en D2. Lemoux parti, Kerbiriou revient au Stade rennais en 1978, pour un an. Supplanté par la paire Kerjean - Izquierdo en défense, il joue relativement peu, mais s'occupe en parallèle du tout nouveau centre de formation, dont il est le premier directeur. Un poste éphémère, puisque le Finistérien part ensuite jouer au niveau amateur avec l'UCK Vannes puis le Drapeau de Fougères. En 1990-1991, il est appelé par son ami et ancien coéquipier Raymond Keruzoré, devenu entraîneur du Stade rennais. Kerbiriou devient alors coordinateur technique du club l'espace d'une petite saison.

1er janvier 2005
Patricio Eguidazu

Joueur basque, originaire d'Arraste (Mondragón en espagnol) petite ville située entre Vitoria-Gasteiz et Saint-Sébastien, Patricio Eguidazu débute en professionnel à la Real Sociedad au sortir de la Guerre civile espagnole. Membre fidèle du club basque, dont il est d'ailleurs considéré comme l'un des plus grands défenseurs, Eguidazu reste douze ans en équipe professionnelle, et y connaît un titre de champion de D2 et une finale de Coupe d'Espagne. En 1952, finalement, son club se sépare de lui, alors qu'il est victime d'une brucellose après avoir bu le lait d'une chèvre malade. Salvador Artigas, un ancien coéquipier à la Real Sociedad devenu entraîneur du Stade rennais, saute sur l'occasion pour l'engager. Eguidazu fait le voyage vers la Bretagne, et y reste une saison, mais son unique année à Rennes se clôt sur une descente en D2. Eguidazu met alors un terme à sa carrière et rentre en Espagne.

1er janvier 2005
Marcel Gouédard

Marcel Gouédard, c'est une trajectoire brisée. Celle d'un footballeur prometteur, fauché à 25 ans par un accident de moto. « La Gouède » naît à Plérin, tout près de Saint-Brieuc. C'est sous les couleurs du Stade briochin qu'il se fait remarquer pendant la guerre, et lui permet d'intégrer les rangs de l'équipe fédérale Rennes-Bretagne en 1943, passant du même coup professionnel. Lorsque les équipes fédérales sont dissoutes, en 1944, Gouédard choisit de rester à Rennes, pour porter les couleurs du Stade rennais. Ses performances en défense ne passent pas inaperçues, et il devient international B, aux portes de la grande équipe de France. Malheureusement, sa carrière s'arrête net, un jour de novembre 1946, victime de cet accident qui lui coûte la vie.

1er janvier 2005
Jocelyn Rico

Frère du vainqueur de la Coupe de France 1971 Robert Rico, Jocelyn Rico débute comme son aîné à l'US Concarneau. Mais alors que Robert prend la direction de Rennes pour y débuter sa carrière pro, Jocelyn se tourne lui vers Brest. Il reste huit années dans le Nord-Finistère, participant à deux montées et à la stabilisation du club dans l'élite. Après l'épisode brestois, il reste en Division 1, sous les couleurs de Nice puis plus brièvement du PSG et de Cannes. En 1990, alors que le Stade rennais retrouve l'élite, Jocelyn Rico retourne en Bretagne et signe en faveur de l'ancien club de son frère. Il en devient l'arrière droit titulaire durant les trois dernières années de sa carrière professionnelle. Jocelyn Rico retourne ensuite à Concarneau où il joue au niveau amateur, puis retourne à Rennes pour évoluer à l'US Saint-Grégoire. Il devient employé de la ville de Saint-Grégoire, et prend en charge comme éducateur plusieurs équipes de jeunes de l'agglomération.

1er janvier 2005
Louis Cardiet

Louis Cardiet est le capitaine historique du Stade rennais, et l'un des seuls joueurs à avoir soulevé deux fois la Coupe de France avec le maillot rouge et noir sur les épaules. Originaire du Finistère, il évolue à Lorient lorsque le Stade rennais le recrute en 1962. Après deux saisons en réserve, il devient titulaire sur le côté gauche de la défense en 1964-1965, Jean Prouff lui faisant confiance après avoir replacé René Cédolin dans l'axe. Défenseur de devoir, excellent dans les duels, « Loulou » Cardiet connaît aussi l'équipe de France, avec laquelle il récolte six sélections, entre 1965 et 1967. Membre essentiel de l'équipe rennaise durant neuf saisons, il dispute plus de 300 matchs officiels avec la tunique rouge et noire. À Colombes, le 20 juin 1971, c'est lui qui lève dans le ciel francilien la deuxième Coupe de France remportée par le club. Deux ans plus tard, il fera malgré tout ses valises, terminant une carrière professionnelle bien remplie avec le tout jeune Paris Saint-Germain. Après avoir joué une dernière saison comme amateur à Berné (Morbihan) avec Jean Prouff, il devient ensuite négociant. Il décède à l'âge de 77 ans le 28 avril 2020, au lendemain du premier anniversaire de la troisième victoire du Stade rennais en Coupe de France.

1er janvier 2005
François Omam-Biyik

François Omam-Biyik reste comme l'un des meilleurs joueurs de l'histoire du Cameroun. Après des débuts pros au Canon de Yaoundé, il rejoint la France et le Stade lavallois en 1987. Il y réalise trois bonnes saisons, puis marque les esprits lors de la Coupe du monde 1990, dont il est le premier buteur face à l'Argentine. Recruté par le Stade rennais avant même la compétition, il se met de suite le public breton dans la poche en inscrivant les deux buts d'une belle victoire face au PSG, dont un but magnifique de la tête (2-1). Excellent dans le jeu aérien, il perpétue la tradition rennaise des grands avant-centres africains initiée entre autres par Laurent Pokou. Dans une équipe rennaise en grande difficulté, il est l'un des rares à surnager, inscrivant 14 buts en cette saison 1990-1991, la plupart à domicile. La suite de sa carrière se dessine à Cannes, brièvement à Marseille, puis surtout au RC Lens où il reste trois ans. Continuant sa carrière au Mexique, il fait ensuite une courte pige en Italie, puis termine sa carrière à Châteauroux. Embrassant la carrière d'entraîneur, il exerce dans des petits clubs de la région de Châteauroux, mais également en Afrique et au Mexique. En 2010-2011, il est également sélectionneur-adjoint de l'équipe nationale camerounaise.