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Histoire

Histoire complète du Stade Rennais, des stades où l’équipe a successivement évolué, moments forts du club : Coupes de France 1965 et 1971, match contre la Juventus en 1999, Coupe Gambardella en 2003, Coupe UEFA 2005...

L’histoire du Stade Rennais
L’histoire des stades du Stade Rennais
Les entraîneurs du Stade rennais
Le blason du Stade rennais

Historique du Stade Rennais en Championnat
Historique du Stade Rennais en Coupe de France
Historique du Stade Rennais en Coupe de la Ligue

La victoire en Coupe de France en 1965
La victoire en Coupe de France en 1971
Le match contre la Juventus Turin en 1999
La victoire en Coupe Gambardella en 2003
La victoire en Coupe Gambardella en 2008

Derniers articles de la rubrique

1er janvier 2005
Laszlo Bölöni

Si Laszlo Bölöni a accompli la très grande partie de sa carrière de joueur en Roumanie (il y a même remporté une Ligue des champions avec le Steaua Bucarest, et honoré une centaine de capes avec la sélection nationale), c'est en France qu'il a principalement commencé sa carrière d'entraîneur, d'abord à Nancy, puis au Stade rennais. Avant de rejoindre les « Rouge et Noir », il se voit toutefois confier la tête de la sélection roumaine (2000), avant de s'envoler un an plus tard vers Lisbonne pour y entraîner le Sporting, avec lequel il réalise le doublé coupe-championnat, et lance chez les pros le jeune Cristiano Ronaldo. À Rennes, Laszlo Bölöni parvient à faire progresser un club jusque-là moribond, en s'appuyant sur une belle génération de joueurs. En 2005, il obtient une quatrième place synonyme d'Europe, et manque de peu de réaliser la même performance la saison suivante. En fin de contrat, il décide de ne pas prolonger, et part entraîner l'AS Monaco en 2006. En Principauté, les choses se passent moins bien pour le technicien roumain, limogé dès l'automne. Bölöni quitte alors la France pour la Belgique puis les Émirats, avant de revenir dans l'hexagone en janvier 2011. Nommé à la tête du RC Lens, il a pour mission de le sauver de la relégation, mais échoue à y parvenir. Il s'exile alors de nouveau en Grèce, puis au Qatar.

1er janvier 2005
Damien Le Tallec

Le petit frère d'Anthony Le Tallec est arrivé à Rennes précédé d'une réputation qui faisait de lui l'un des attaquants les plus doués de sa génération, titulaire indiscutable dans les équipes de France de jeunes, aux côtés de Yann M'vila et Yacine Brahimi notamment. Buteur de caractère, il a fait alors de son jeu de tête redoutable l'un de ses atouts principaux, mais n'est pas non plus maladroit balle au pied. Longtemps dans les équipes de jeunes du Havre, il rejoint le centre de formation rennais à 15 ans. Deux ans plus tard, il est bombardé plus jeune professionnel de l'effectif, et est l'un des fers de lance de l'équipe qui remporte la Coupe Gambardella en 2008. Très décevant sportivement (4 buts en 21 rencontres de CFA lors de sa dernière saison rennaise) et très (trop) impatient d’obtenir sa chance à l’étage supérieur, il quitte son club formateur en août 2009, pour tenter sa chance à Dortmund, en Allemagne. Une expérience sans relief puisqu'il revient deux ans et demi plus tard à Nantes, avant de mettre le cap sur le championnat ukrainien, puis russe, où il est repositionné au milieu de terrain. En janvier 2016, il continue son parcours cosmopolite en signant à l'Étoile rouge de Belgrade, avec laquelle il est sacré champion de Serbie. En juin 2018, Damien Le Tallec - qui évolue désormais au poste de défenseur central ou de milieu défensif - revient finalement en France en signant à Montpellier.

1er janvier 2005
Aurélien Montaroup

Né à Rennes, Aurélien Montaroup fait toutes ses classes au Stade rennais. Après l'école de football, il rentre au centre de formation et franchit une à une les étapes jusqu'à l'équipe réserve. Non conservé par le club en 2005, il joue une saison à Orléans puis quelques mois à Créteil avant d'y résilier son contrat. Après une pause de plusieurs mois, il reprend une saison à La Vitréenne, puis décide de s'exiler pour continuer à vivre du football. En novembre 2008, il signe ainsi en Biélorussie, et s'impose au sein du Dynamo Minsk. Sacré meilleur défenseur du championnat biélorusse, il revient finalement en France en 2011, en signant à Caen. En Basse-Normandie, il découvre la Ligue 1, mais connaît aussi la relégation quelques mois après son arrivée. Non conservé après la remontée de Caen en Ligue 1 à l'issue de la saison 2013-2014, il retourne en Ligue 2, à Créteil, et y joue durant deux saisons.

1er janvier 2005
Patrice Mayet

Patrice Mayet naît et grandit à Casablanca, au Maroc. En 1945, il débute au football avec le club des Roches Noires, un quartier de la cité marocaine. Ailier gauche percutant et techniquement doué, il attire les convoitises de l'un des deux grands clubs de la ville, le WAC Casablanca, avec lequel il est sacré champion du Maroc en 1955. Bien vite, c'est l'hexagone qui lui tend les bras. Très actifs au Maghreb français à l'époque, les recruteurs rennais ne manquent pas ce bon espoir, et le font venir en Bretagne en 1957. Très souvent titulaire, il participe à la remontée rennaise en D1, mais reste irrégulier, et doit faire façon à la concurrence de Guy Méano. La saison suivante, Mayet fait ses débuts dans l'élite, mais perd nettement en temps de jeu, cette fois devancé dans la hiérarchie par l'Algérien Mahi. Prêté en D2 au FC Nantes durant la deuxième moitié de saison 1958-1959, il quitte ensuite définitivement la Bretagne pour jouer deux saisons à Besançon. Restant en deuxième division, il signe ensuite à Valenciennes, avec qui il parvient à monter dans l'élite. Dans le Nord, il vit la meilleure période de sa carrière, restant six saisons titulaire, non sans avoir reculé sur le terrain pour se fixer en défense. Par la suite, Mayet embrasse le métier d'entraîneur, dirigeant quelques petites équipes, dont l'AC Saint-Nazaire.

1er janvier 2005
Oscar Muller

Fils de Ramon Muller, footballeur argentin expatrié en France, Oscar Muller réalise sa formation à Saint-Brieuc puis au FC Nantes, club dans lequel son père a brillé. Il y reprend le flambeau familial, devenant l'une des plaques tournantes du jeu nantais de la fin des années 1970, début des années 1980, récoltant au passage trois titres de champion et une Coupe de France. En fin de parcours en Loire-Atlantique, il rejoint le Stade rennais en 1984, et découvre du même coup la deuxième division. Titulaire au milieu, le plus souvent en compagnie de Christian Zajaczkowski et de Farès Bousdira, Muller joue un rôle prépondérant dans la remontée obtenue à la fin de la saison. Malheureusement, le Franco-Argentin connaît quelques problèmes physiques, et son temps de jeu se réduit l'année suivante en D1. Quittant le club en 1986, il termine sa carrière à Amiens puis au niveau amateur à Angoulême et à Saint-Sébastien-sur-Loire, toujours handicapé par des blessures. En 1990, il finit par s'installer à la Réunion, où il tient un magasin d'articles de sport. Quinze ans plus tard, en 2005, un accident lui coûte finalement la vie, percuté par une moto en pleine rue.

1er janvier 2005
Michel Watteau

Originaire du Nord, Michel Watteau débute avec le club de sa commune natale, Wattrelos près de Lille. Logiquement, ses qualités sont repérés par le CO Roubaix-Tourcoing, l'un des grands clubs locaux. C'est avec le CORT que Watteau débute en D2 en 1961-1962. Sur la pente descendante, le club champion de France en 1947 le transfère rapidement au RC Paris. Dans la capitale, le jeune attaquant découvre l'élite, lors d'une saison qui se conclue sur une descente. En 1965, c'est un Stade rennais tout récent vainqueur de la Coupe de France qui recrute cet espoir prometteur. Prenant principalement la place de Jean-François Prigent au poste d'ailier droit, Watteau met sa polyvalence au service de Jean Prouff et évolue à de nombreux postes différents - en attaque comme au milieu - durant la saison. Une année très correcte, mais qui ne convainc pas le Stade rennais de le conserver. Une année après son arrivée, Watteau quitte la Bretagne pour retrouver le RC Paris, qui vient de fusionner avec Sedan. Ses performances lui ouvrent alors les portes de l'équipe de France, le temps d'une unique sélection, en novembre 1966, contre le Luxembourg. Michel Watteau continue ensuite sa carrière à Lille, puis à Sochaux, à Valenciennes, et enfin à Troyes, principalement en D1. En 1976, il met un terme à sa carrière professionnelle et rejoint Saint-Nazaire, avant de jouer également à Bondues, chez lui dans le Nord. Il décède en 2003, à l'âge de 67 ans.

1er janvier 2005
Antoine Pascual

Enfant d'Oran, Antoine Pascual grandit en Algérie française. Il s'essaye d'abord au basket-ball, mais finit par signer une première licence de footballeur en 1947 à l'AS Marine, l'un des clubs de la ville, à l'âge de treize ans. Affirmant peu à peu ses qualités, il finit par évoluer en première division algérienne. En 1953, il doit cependant quitter son club pour faire son service militaire, mais continue de jouer au football avec l'équipe de son régiment. C'est lors d'un match entre équipes de l'armée qu'il est repéré par des recruteurs rennais, qui lui proposent de faire un essai. Celui-ci s'avérant concluant, Pascual signe au Stade rennais comme stagiaire et l'intègre lorsqu'il est libéré de ses obligations militaires. Après avoir fait ses armes pendant trois ans avec la section amateur, il fait ses débuts en équipe première en mai 1957. La saison suivante, en 1957-1958, il devient professionnel, et titulaire en défense aux côtés de Jacques Poulain et Yves Boutet. Une saison en D2 qui se termine par une montée en D1. Une fois dans l'élite, Pascual joue cependant beaucoup moins, les arrivées de Joseph Donnard et André Le Menn renforçant la concurrence dans le secteur défensif. En 1959, Antoine Pascual quitte finalement la Bretagne pour jouer avec Montpellier en deuxième division. Un court séjour à l'issue duquel il entame une reconversion comme entraîneur. Après avoir passé ses diplômes, il exerce notamment à Moullins ou avec les Cormorans de Penmarc'h.

1er janvier 2005
Michel Beaulieu

Michel Beaulieu, c'est une vie presque entière consacrée au Stade rennais. Formé au club, il y fait toutes ses classes jusqu'à l'équipe première. En 1967-1968, Jean Prouff l'aligne à une dizaine de reprises en Division 1. Défenseur central, il est alors associé à René Cédolin. Rapidement pourtant, Michel Beaulieu retourne chez les amateurs. Après un passage dans les années 1970 à Redon, il revient au Stade rennais en 1978 pour y rester durant près de trente ans. L'ancien défenseur occupe alors plusieurs postes. Entraîneur-adjoint auprès de Pierre Garcia puis de Jean Vincent, il est surtout directeur du centre de formation jusqu'en 1987 (date à laquelle Patrick Rampillon prend sa succession) et responsable de la section amateur jusqu'en 2007. Michel Beaulieu prend alors sa retraite, et passe le relai à Loïc Lambert.

1er janvier 2005
Saliou Lassissi

Arrivé très jeune au Stade rennais, Saliou Lassissi est formé au club avant d'arriver en équipe première en 1996. Ce jeune ivoirien est alors la révélation du club lors de la saison 1996-1997, produisant quelques très grosses performances. Malheureusement, il ne confirme que mollement en 1997-1998, puis est transféré à Parme. Le club italien, qui voit pourtant en lui un « nouveau Thuram », ne lui fait pas de suite confiance, et le prête à la Sampdoria puis à la Fiorentina. Lassissi y montre de belles dispositions, et aide la « Fio » à remporter la Coupe d'Italie en 2001. Recruté par l'AS Rome, il ne pourra jamais s'exprimer sous les couleurs giallorossi : victime d'une terrible fracture tibia-péroné, il passe trois ans à l'infirmerie avant d'être laissé libre en 2004. Après un an de chômage, Nancy tente de le relancer fin 2005, mais cette expérience en Lorraine est un échec. Lassissi retourne ensuite en Côte d'Ivoire, puis tente de nouveau sa chance en Europe, en Suisse puis avec Sannois-Saint-Gratien en National. Sans grands résultats.

1er janvier 2005
Robert Llorens

Après avoir fait ses débuts à La Ciotat, Robert Llorens passe professionnel au RC Lens, au milieu des années 1970. Attaquant trapu, il éprouve des difficultés à s'imposer au sein du secteur offensif des « Sang et Or ». En 1979, il est transféré au Stade rennais, qui se relève tout juste de ses graves ennuis financiers, et tente de se reconstruire avec Pierre Garcia aux manettes. Llorens s'impose rapidement comme titulaire, d'abord comme avant-centre avec Guy Nosibor et Gérard Saliné à ses côtés, puis les années suivantes dans une position plus reculée de numéro 10. Il dispute ainsi plus de 80 matchs de D2 en l'espace de trois saisons, et marque près de vingt buts. La suite de sa carrière se dessine sous les couleurs du Havre, où il reste six saisons et qu'il aide à faire remonter en D1, puis termine sa carrière à Valenciennes, Perpignan et enfin La Ciotat où il devient entraîneur-joueur. Llorens reste l'entraîneur de son club d'origine jusqu'en 1999, puis en devient le directeur sportif. Il intègre ensuite le Toulouse FC, dont il devient recruteur pour le centre de formation.