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Histoire

Histoire complète du Stade Rennais, des stades où l’équipe a successivement évolué, moments forts du club : Coupes de France 1965 et 1971, match contre la Juventus en 1999, Coupe Gambardella en 2003, Coupe UEFA 2005...

L’histoire du Stade Rennais
L’histoire des stades du Stade Rennais
Les entraîneurs du Stade rennais
Le blason du Stade rennais

Historique du Stade Rennais en Championnat
Historique du Stade Rennais en Coupe de France
Historique du Stade Rennais en Coupe de la Ligue

La victoire en Coupe de France en 1965
La victoire en Coupe de France en 1971
Le match contre la Juventus Turin en 1999
La victoire en Coupe Gambardella en 2003
La victoire en Coupe Gambardella en 2008

Derniers articles de la rubrique

1er janvier 2005
Maurice Guénard

Originaire de Chantepie, Maurice Guénard évolue aux Cadets de Bretagne avant de rejoindre le Stade rennais à la libération. Attaquant évoluant côté gauche, il débute la saison 1945-1946 comme titulaire, mais retourne vite avec la section amateurs, Robert Hauvespre puis Henri Combot occupant par la suite ce poste. Guénard reste avec les amateurs stadistes jusqu'en 1948, date à laquelle il rejoint le Drapeau de Fougères pour une durée de trois ans. En 1951, il revient au sein de la section amateur du Stade rennais, et profite des deux saisons suivantes pour faire quatre nouvelles apparitions en Division 1, cette fois en défense. Par la suite, Maurice Guénard part jouer à l'US Châteaugiron.

1er janvier 2005
Charles Léa Eyoum

Charles Léa est, dans les années 1970, le premier joueur camerounais à porter le maillot du Stade rennais. Révélé avec le Diamant et le Canon de Yaoundé, Léa est international avec les Lions indomptables, et a déjà commencé une carrière européenne en rejoignant Toulouse en 1972. Deux ans plus tard, c'est au Stade rennais qu'il atterrit, grossissant les rangs d'une colonie africaine qui compte déjà le Malien Fantamady Keita, l'Ivoirien Laurent Pokou et le Marocain Houssaine Anafal. Après des débuts tonitruants (deux buts pour ses deux premiers matchs), l'attaquant camerounais marque le pas, et voit sa période rennaise définitivement gâchée par une grosse blessure. Direction alors Lucé, près de Chartres, puis Caen, et enfin Villemomble, son dernier club français. Léa rentre ensuite en Afrique, mais fait un détour par la Côte d'Ivoire avant de rentrer au Cameroun. De retour au pays, il embrasse la carrière d'entraîneur, puis prend des responsabilités dans les instances footballistiques locales, au sein du syndicat des joueurs puis à la fédération camerounaise.

1er janvier 2005
Shai Holtzman

Shai Holtzman et le Stade rennais, c'est l'histoire d'une occasion manquée. Buteur renommé dans son pays, Israël, il est transféré en Bretagne à l'été 1997, une dizaine d'années après son compatriote Vicky Peretz. Malheureusement Holtzman n'aura pas la réussite de son aîné sous le maillot rouge et noir. Un nombre trop élevé d'étrangers dans l'effectif rennais l'empêche de défendre ses chances en D1. En conséquence de quoi, il est obligé de prendre son mal en patience. L'épisode ne dure que jusqu'à l'hiver suivant, l'attaquant retournant dans son pays. Par la suite, il ne quittera d'ailleurs Israël que pour un court passage en Autriche. Dans son pays, Holtzman est un attaquant réputé, toutefois sélectionné de façon sporadique en équipe nationale. Multipliant longtemps les clubs, il se bâtit un joli palmarès avant de se fixer au FC Ashdod. Un club avec lequel il est sacré trois fois meilleur buteur du championnat et dont il devient directeur technique à la fin de sa carrière sportive.

1er janvier 2005
Yannick Stopyra

S'il est né à Troyes, Yannick Stopyra grandit en Bretagne. Fils de l'international Julien Stopyra, il joue ainsi à Redon et joue quelque fois en lever de rideau de matchs disputés route de Lorient. Malgré tout, il part à la fin des années 1970 faire sa formation à Sochaux, et y débute en équipe première dès ses seize ans. Il devient rapidement l'un des meilleurs attaquants de l'hexagone, et intègre l'équipe de France de Michel Hidalgo, même s'il manque la Coupe du monde 1982. En 1983, à la surprise générale, il rejoint un Stade rennais qui retrouve tout juste l'élite après six années de D2. C'est le choix du cœur pour Stopyra, qui retrouve le club de son enfance. C'est aussi du pain béni pour une équipe qui a toutes les difficultés du monde à se maintenir. Titulaire toute la saison au poste d'avant-centre, Stopyra ne peut pas tenir l'équipe sur ses seules épaules, et le Stade rennais est relégué en fin de saison. Le joueur en fait également les frais sur un plan plus personnel, puisqu'il s'éloigne des Bleus et manque l'Euro 1984. Transféré à Toulouse, Stopyra y retrouve des couleurs, et y réalise quatre très belles saisons. Il se refait une place en équipe de France et est titulaire lors du Mondial 1986. La suite de sa carrière se dessine à Bordeaux, Cannes, Metz, et enfin par une dernière pige de deux ans à Mulhouse, en deuxième division. En fin de carrière, il s'oriente alors - conseillé par Aimé Jacquet - vers la formation des jeunes footballeurs. Directeur du pôle de préformation de Madine, il passe ensuite plusieurs années dans les pays arabes, avant de devenir en 2007 le directeur du centre de préformation de Castelmaurou, près de Toulouse. En 2012, il retrouve le monde du football professionnel en devenant responsable du recrutement au centre de formation des Girondins de Bordeaux.

1er janvier 2005
Louis Ferry

Gardien de but originaire d'Oran en Algérie, Louis Ferry tente une première fois sa chance dans l'hexagone au milieu des années 1950, sans parvenir à passer professionnel. Après un retour à Oran, il rejoint le Stade rennais en 1960. Promu titulaire dans les buts pour la saison 1960-1961, il perd sa place l'année suivante au profit de Bernard Josse et Yves Audigane. Quittant le club en 1962, Ferry rejoint Limoges et poursuit sa carrière en seconde division. Après deux exercices en Haute-Vienne, il est recruté par l'OGC Nice, tout juste relégué de D1. Prenant le poste de numéro 1, il aide les Aiglons à remonter dans l'élite. Il y joue finalement jusqu'en 1967, un an après avoir perdu sa place au profit de Marcel Aubour.

1er janvier 2005
Papakouli Diop

Jeune sénégalais de vingt ans, Papakouli Diop pose ses valises en Bretagne en 2004, après avoir évolué durant quelques années dans son pays. Doté d'un fort potentiel athlétique et d'un très bon jeu technique, Diop fait le bonheur de Landry Chauvin et de l'équipe réserve durant deux saisons, avant de rejoindre l'effectif professionnel en juin 2006, en même temps que Romain Danzé et Sylvain Marveaux. Après une petite apparition en équipe première lors de la première journée de Ligue 1, Papakouli est finalement prêté au Tours FC, en Ligue 2, afin d'acquérir du temps de jeu à haut niveau. Peu utilisé en début de saison, puis gravement blessé, il effectue finalement une saison moyenne avec le club tourangeau. Le Stade rennais décide alors de ne pas prolonger son contrat et le laisse libre à l'issue de la saison 2006-2007. Le jeune sénégalais décide alors de continuer avec Tours, puis s'exile six mois plus tard en Espagne. Après plusieurs années à s'aguerrir, il s'installe comme un bon joueur de la Liga avec Santander, Levante puis l'Espanyol Barcelone.

1er janvier 2005
Bruno Roux

Bruno Roux, le père de Nolan Roux, fait ses débuts de footballeur dans l'Oise, son département natal. Repéré à vingt ans par l'AS Beauvais, il y découvre la D2 et attire par ses qualités de buteur le regard du Paris Saint-Germain. Roux ne jouera que peu dans la capitale lors de la saison 1987-1988, avant d'être prêté l'année suivante à Rouen. Dans la foulée, il passe quatre ans au Havre, avec lequel il décroche une promotion dans l'élite. Étiqueté « joueur de D2 », il signe à Rennes en 1993, et aide le club à remonter en D1. Malgré ses dix buts, il n'est pas conservé par le club, lequel recrute dans le même temps Marco Grassi. Roux finit sa carrière en Division 2, sous les couleurs de Châteauroux, du Red Star et enfin de son club de cœur, l'AS Beauvais. Immédiatement, il entame une reconversion d'entraîneur, d'abord avec les jeunes du centre de formation de Caen, puis de ceux de Beauvais. Entre 2002 et 2004, il occupe dans le même temps le poste de directeur du centre de formation du club picard. Promu entraîneur de l'équipe première, il reste près de quatre ans en poste, puis occupe les mêmes fonctions durant deux saisons et demie à Compiègne. En 2013, il prend en main le club de Senlis.

1er janvier 2005
Charles Berthelot

Gardien de but originaire du pays fougerais, Charles Berthelot arrive en toute discrétion au Stade rennais au début des années 1920. Passé par le Drapeau de Fougères, il parvient à gagner sa place de titulaire dans les buts rennais en 1922. En Coupe de France, il prend une part prépondérante dans l'épopée rennaise, qui ne s'arrête qu'en finale, perdue face au Red Star. En demi-finale et en finale, devant le public parisien, le jeune gardien est héroïque. Tant et si bien que ses performances lui ouvrent les portes d'une sélection en équipe de France, une première pour un gardien rennais. Malheureusement, cette sélection se passe mal (défaite 1-8 aux Pays-Bas), et Berthelot n'est plus rappelé par la suite, ayant commis trois grosses erreurs ayant coûté autant de buts. Resté au Stade rennais jusqu'en 1924, il retourne ensuite au Drapeau de Fougères. Une ville où il meurt en septembre 1940, à 39 ans seulement, victime d'une maladie.

1er janvier 2005
Claude Arribas

Fils de l'entraîneur nantais José Arribas, c'est tout logiquement que Claude Arribas fait ses classes au FCN. Il évolue de 1969 à 1974 en équipe première, pour cinq années entrecoupées d'une saison en prêt au tout jeune PSG. Soumis à une rude concurrence sur son côté gauche, il finit par quitter la Loire-Atlantique pour Bordeaux, où il récupère une place de titulaire. Il reste deux saisons avec les Girondins. En 1976, il rejoint un Stade rennais qui vient de remonter en D1. Arribas s'installe comme titulaire au milieu de terrain, et reste deux ans à Rennes, dans l'élite puis en D2. Il termine ensuite sa carrière à cet échelon, avec Cannes puis Angers.

1er janvier 2005
Bernard Larnicol

Défenseur finistérien, Bernard Larnicol profite d'un mouvement de grève engagé par une partie de l'effectif professionnel pour faire son unique apparition en Division 2 face à Lille. Originaire de Pont-l'Abbé, il évoluait alors avec l'équipe réserve au sein de la section amateurs. Une formation au sein de laquelle il retourne très rapidement avant de rentrer dans son Finistère natal par la suite.