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Histoire

Histoire complète du Stade Rennais, des stades où l’équipe a successivement évolué, moments forts du club : Coupes de France 1965 et 1971, match contre la Juventus en 1999, Coupe Gambardella en 2003, Coupe UEFA 2005...

L’histoire du Stade Rennais
L’histoire des stades du Stade Rennais
Les entraîneurs du Stade rennais
Le blason du Stade rennais

Historique du Stade Rennais en Championnat
Historique du Stade Rennais en Coupe de France
Historique du Stade Rennais en Coupe de la Ligue

La victoire en Coupe de France en 1965
La victoire en Coupe de France en 1971
Le match contre la Juventus Turin en 1999
La victoire en Coupe Gambardella en 2003
La victoire en Coupe Gambardella en 2008

Derniers articles de la rubrique

1er janvier 2005
Serge Le Dizet

Avant de devenir une figure emblématique du FC Nantes, Serge Le Dizet a pendant longtemps été l'un des hommes de base de l'effectif rennais. Après ses débuts à Douarnenez puis à Quimper, il rejoint Rennes en 1982. Il joue très peu pendant trois ans, puis obtient du temps de jeu sur deux années de prêt à Quimper, alors en Division 2. Quand le Stade rennais est lui-même relégué en D2, Le Dizet y devient titulaire, sous la houlette de Raymond Keruzoré. D'abord milieu de terrain, il se fixe ensuite en défense, comme latéral (aussi bien à gauche qu'à droite). Il participe ainsi à la remontée en D1, mais ne peut empêcher les débâcles de l'équipe rennaise dans l'élite. Alors que celle-ci doit repartir en D2, Le Dizet est recruté par le voisin nantais. Intégrant les principes de jeu de Suaudeau, il prend une part active dans la conquête du titre par les Canaris en 1995. Prenant sa retraite en 1998, il intègre immédiatement le centre de formation nantais, devenant entraîneur. En quelques années, il grimpe les échelons, dirigeant les 18 ans, puis la réserve, et enfin l'équipe première en Ligue 1. Débarqué après un an et demi à sa tête, il rebondit aux Émirats puis à Concarneau, en 2008-2009. Il devient ensuite l'adjoint de Laurent Guyot à Boulogne durant une saison et demie, puis rejoint Angers en juin 2011, là aussi pour seconder l'entraîneur principal.

1er janvier 2005
Uwe Reinders

Uwe Reinders fait ses armes d'attaquant à Essen, sa ville natale. À la fin des années 1970, début des années 1980, il se fait connaître au Werder de Brême, et devient international ouest-allemand. À ce titre, il participe à la Coupe du monde 1982, mais reste dans l'ombre des Rummenigge, Littbarski ou Fischer qui emmènent la Mannschaft jusqu'en finale. En 1985, il quitte la RFA et rejoint Bordeaux, double champion de France en titre. En Gironde, il confirme sa réputation de chasseur de buts, mais la saison des Bordelais est décevante malgré une victoire en Coupe de France. Transféré au Stade rennais quelques mois plus tard, son passage en Bretagne sera un fiasco, avec dix matchs joués en championnat pour aucun but marqué. Reinders repart alors en Allemagne, terminer sa carrière à Brunswick comme entraîneur-joueur. En tant que technicien, il entraîne ensuite notamment Rostock et le Hertha Berlin.

1er janvier 2005
Serge Bauché

À défaut d'avoir pu faire carrière en équipe professionnelle, le Stade rennais a tenu une grande, très grande place dans l'existence de Serge Bauché. Rennais de naissance, il intègre à dix ans les équipes de jeunes du club rouge et noir. Il y côtoie notamment Jean Prouff, de trois ans son cadet, avec lequel il remporte la Coupe de France des espoirs en 1935. Bauché continue ensuite de jouer avec la section amateur, sans faire d'apparitions chez les pros. Après la Seconde Guerre mondiale, l'ancien attaquant devient dirigeant, toujours au Stade rennais. Entre 1945 et 1956, il prend des responsabilités au sein de la section amateur. Mais surtout, il occupe le poste de directeur sportif auprès de l'effectif professionnel. Il meurt à Rennes en janvier 2002, à 85 ans.

1er janvier 2005
Zdenko Kobešćak

Originaire de Croatie, Zdenko Kobešćak commence à jouer au football dans les champs. En 1957, à l'âge de quatorze ans, il entre au Dinamo Zagreb, qui deviendra le club de sa vie. Kobešćak y réalise sa formation et y débute chez les professionnels. C'est également avec le Dinamo que ce milieu de terrain gagne ses galons d'international yougoslave, avec deux sélections en 1963 et 1964. En 1967, après avoir gagné deux fois la Coupe de Yougoslavie, il quitte le Dinamo pour les voisins du NK Zagreb. Une courte expérience d'un an dans le club ennemi, puis un déménagement à Maribor, pour trois années en Slovénie. En 1971, il est recruté par le Stade rennais, tout frais vainqueur de la Coupe de France et qui cherche un successeur au Serbe Velimir Naumović. Dans la continuité, c'est donc un autre yougoslave qui est choisi, et Kobešćak débarque en Bretagne. Après de bons débuts, le joueur disparaît progressivement au fil de la saison, la paire Raymond Keruzoré - Pierre Garcia s'imposant naturellement dans l'entrejeu. C'est donc logiquement que Kobešćak quitte la Bretagne après une seule saison, et joue une dernière année en France sous les couleurs de Montluçon, en Division 2. Par la suite, l'ancien international rentre en Yougoslavie, et réintègre le Dinamo. Il y devient éducateur auprès des jeunes, mais joue également les pompiers de service lorsque l'entraîneur de l'équipe première est débarqué. C'est le cas en 1985, après le départ de Tomislav Ivić, puis en 1991-1992, après celui de Vlatko Marković.

1er janvier 2005
Georges Lamia

Né en Algérie, pied-noir, Georges Lamia naît à La Calle (aujourd'hui El Kala), près de la frontière tunisienne. Après des débuts à Bône, ce gardien de but débarque dans l'hexagone au milieu des années 1950, et rejoint l'OGC Nice. Après quelques apparitions en D1 lors de la saison 1956-1957, Lamia profite du départ de l'international Dominique Colonna à Reims pour hériter de la place de titulaire dans les cages niçoises. Il s'y impose rapidement, et Nice ne le regrette pas. En 1959, il est l'un des acteurs majeurs du titre de champion de France obtenu par le club azuréen, une dream team qui compte également Jacky Faivre et qui inquiètera l'année suivante le Real Madrid en quarts de finale de la Coupe d'Europe des clubs champions. Profitant de ses performances pour intégrer l'équipe de France, Lamia dispute au passage l'Euro 1960, mais sa prestation décevante en demi-finale contre la Yougoslavie (4-5) coûte en partie la finale aux Bleus. Décrit comme un gardien spectaculaire, courageux dans ses sorties, bondissant sur sa ligne, mais aussi limité dans les airs, Lamia reste à Nice jusqu'en 1963. Il change alors totalement d'univers en rejoignant Le Havre, où il reste un an, puis en signant au Stade rennais en 1964, où il succède à Jean-Claude D'Arménia. Titulaire durant toute la saison, il ajoute à son palmarès la Coupe de France remportée par les « Rouge et Noir ». Resté en Bretagne en 1965-1966, il met un terme à sa carrière après cette ultime saison, à l'âge de 33 ans. Il décède en mars 2014, à l'âge de 80 ans.

1er janvier 2005
Éric Benoît

Formé au FC Sochaux, Éric Benoît est l'un des joueurs emblématiques de la formation franc-comtoise de la fin des années 1970 et du début des années 1980. Débutant en pro dès la saison 1974-1975, il doit cependant attendre deux ans avant de devenir un membre régulier de l'équipe première du FCSM. Il y reste alors sept saisons avant de quitter son club formateur. Milieu défensif, il signe en 1983 à l'AS Monaco, où il reste titulaire deux saisons, puis rejoint l'Olympique de Marseille en 1985. Le club phocéen se remet tout juste d'une période noire et cherche à retrouver les sommets en D1 après quatre années à l'étage inférieur. Malheureusement, Benoît ne s'impose pas, puis est placardisé lors de sa seconde saison sur la Canebière, la première de l'ère Tapie. Lors de l'été 1987, il rejoint le Stade rennais qui se reconstruit en D2 sous la direction de Keruzoré, mais ne dispute que les huit premiers matchs de la saison, puis quitte le club en 1988 pour retrouver sa région d'origine. Il débute alors une modeste carrière d'entraîneur à Dole, puis en région Rhône-Alpes. En 2010-2011, il dirige ainsi l'équipe d'Albertville, qui évolue au niveau Ligue.

1er janvier 2005
Jean Goyer

Recruté alors qu'il évolue au FC Rouen, Jean Goyer dispute trois matchs de Division 2 avec le Stade rennais en 1978-1979. Palliant une absence du titulaire Alain Borne, cet attaquant bas-normand s'illustre en marquant l'unique but rennais lors d'un match nul concédé face à Angoulême. À l'issue de sa période rennaise, Goyer rentre en Normandie et plus précisément au CA Lisieux, le club de sa ville natale.

1er janvier 2005
Léon Rossi

Léon Rossi est une figure emblématique de l'histoire de l'OGC Nice. Né et ayant grandi à Villefranche-sur-Mer, une ville adjacente à Nice, il débute dans le club local avant de rejoindre le Gym en 1941. Passé professionnel, il délaisse sa formation de menuisier pour se consacrer au football. Dans le même temps, il œuvre pour la résistance durant la guerre. Jusqu'en 1952, il joue dans les rangs de l'OGCN, et décroche au passage deux titres de champion et une Coupe de France avec la génération des Antoine Bonifaci, Pär Bengtsson ou encore Marcel Domingo. En fin de carrière, il multiplie les clubs, passant par Toulouse, le Red Star, puis signant au Stade rennais en 1954. En Bretagne, il ne reste qu'un an, et évolue alternativement en défense ou au milieu de terrain au côté de Jean Cueff. À la suite de son époque rennaise, Rossi entame sa reconversion en devenant entraîneur-joueur à Cannes puis à Brive-la-Gaillarde. Délaissant définitivement les terrains, il dirige ensuite le Stade français en première division, puis revient à son cher OGC Nice. Il y retourne en tant que recruteur en 1967, puis occupe régulièrement le poste d'entraîneur jusqu'en 1981, sur des périodes de deux à un an. Après avoir goûté une retraite paisible à Villefranche-sur-Mer, il décède en mars 2007, à 83 ans.

1er janvier 2005
Sylvain Marveaux

Joueur talentueux né à Vannes, Sylvain Marveaux évolue au poste de milieu offensif, aussi bien dans l'axe, à son poste de prédilection, que sur le côté gauche. Rapide et technique, il est régulièrement comparé à Olivier Monterrubio à ses débuts professionnels. Formé au club, où il arrive en 2001, il devient titulaire indiscutable avec l'équipe réserve en CFA durant la saison 2005-2006, après avoir soigné une rupture des ligaments croisés du genou. Son retour en forme lui permet de signer un premier contrat professionnel de trois ans avec le Stade rennais en 2006, et de faire ses débuts pros dans la foulée, lancé par Pierre Dréossi. Auteur de cinq buts en Ligue 1 pour sa première saison à ce niveau, Sylvain Marveaux réussit parfaitement ses débuts chez les professionnels. Malheureusement, la confirmation de son talent se fait attendre lors de sa deuxième saison, avant qu'une grosse blessure ne gâche la troisième. Son retour sur les terrains en mai 2009, peu après la finale de Coupe de France perdue contre Guingamp, laisse néanmoins présager de belles choses. En 2009-2010, Marveaux réalise sa meilleure saison depuis ses débuts professionnels avec dix buts et cinq passes décisives en Ligue 1, mais la suivante est de nouveau gâchée par une grosse blessure aux adducteurs, qui l'oblige à être opéré. En fin de contrat, et ayant refusé de prolonger au Stade rennais, Marveaux signe en juin 2011 à Newcastle, où il continue de collectionner les blessures. Après trois saisons en demie-teinte, il est prêté à Guingamp en juillet 2014, et y réalise une saison honnête. De retour en Angleterre, il ne joue plus, et finit par résilier son contrat en mai 2016. Sans club pendant deux mois, il finit par s'engager avec le FC Lorient et continue ainsi son tour des clubs bretons.

1er janvier 2005
Christophe Fauvel

Formé au Stade rennais, Christophe Fauvel dispute une vingtaine de matchs en équipe première entre 1988 et 1993, sans jamais parvenir à s'imposer réellement, et n'étant que rarement titulaire. En 1990-1991, un prêt à Louhans-Cuiseaux lui permet de disputer une vingtaine de matchs de Division 2. Après avoir quitté le club en 1993, il fait l'essentiel de sa carrière sous les couleurs de l'US Saint-Malo.